La Réserve fédérale américaine s'apprêtait à annoncer mercredi soir à 20 heures une nouvelle troisième hausse de ses taux directeurs. Les marchés parient en ...
Les investisseurs espéraient y trouver des indices sur l'évolution de la conjoncture économique et la trajectoire future des taux d'intérêt. A l'origine de ce difficile retour à la réalité, le discours prononcé par Jerome Powell, le président de la Réserve fédérale, au symposium annuel des banques centrales, à Jackson Hole (Wyoming). De quoi limiter les liquidités sur le marché et ainsi participer au mouvement visant à tempérer l'inflation. Les opérateurs de marché tablaient à un peu plus de 80 % sur une hausse de cette ampleur. La Réserve fédérale américaine a annoncé mercredi une troisième hausse de ses taux directeurs depuis le printemps. Comme en juin et en juillet, le tour de vis atteint 0,75 point, ce qui porte les taux dans une fourchette de 3 % à 3,25 %.
La banque centrale américaine a augmenté ses taux de 75 points de base, comme attendu.
La Fed a ainsi revu à la hausse ses prévisions d’inflation et de chômage et à la baisse celles de la croissance. Parmi les dangers, il cite par exemple les consommateurs américains qui sont remis à «sur-utiliser leurs cartes de crédit» et le marché immobilier «fortement fragilisé», qui «comporte un effet d’entraînement important sur l’économie». Mais elle a aussi relevé ses prévisions de chômage et a abaissé celles de la croissance. Sujet hautement politique, la lutte contre l’inflation est devenue la priorité de la Fed, qui s’est à nouveau dite «hautement attentive aux risques d’inflation» et «fortement attachée à revenir à son objectif de 2%». Pour l’heure, la banque centrale profite d’un marché de l’emploi en bonne santé, avec un taux de chômage historiquement faible de 3,7%. Pour la troisième fois de suite, la Réserve fédérale américaine (Fed) a relevé mercredi ses taux d’intérêt de 75 points de base sans faire ciller quiconque.
Comme attendu, la Réserve fédérale américaine a relevé le taux de ses Fed funds de 75 points de base. Certains craignaient un tour de vis de 100 points de ...
La probabilité d'un ralentissement de l'économie en douceur s'est réduite, a déclaré [Jerome Powell](https://investir.lesechos.fr/recherche/?exec=1&texte=Jerome%20Powell&nr=1) lors de sa conférence de presse. [chômage](https://investir.lesechos.fr/recherche/?exec=1&texte=chomage&nr=1) en légère hausse. Lors de sa réunion de septembre, la Réserve fédérale américaine a décidé de relever ses taux directeurs de 75 points de base, portés dans la fourchette de 3% à 3,25%, en vue de juguler une inflation qui reste élevée dans le pays.
Face à une inflation toujours élevée et difficile à maîtriser, la banque centrale américaine (Fed) a relevé de 75 points de base ses taux directeurs, ...
Elles sont nombreuses à se réunir cette semaine, notamment, jeudi, la banque d'Angleterre (BoE) et celle du Japon (BoJ). Cela fait baisser les ventes dans ce secteur qui avait affiché une bonne santé insolente depuis le début de la pandémie. La Fed anticipe désormais une croissance quasi nulle pour 2022 (+0,2%) contre 1,7% prévu en juin. La puissante institution l'a martelé : la lutte contre l'inflation est sa priorité. La banque centrale américaine, comme ses homologues partout dans le monde, tente de juguler une inflation provoquée par les perturbations de la chaîne d'approvisionnement liées au Covid-19, et exacerbée par la hausse des prix de l'énergie et de l'alimentation avec la guerre en Ukraine. "Le Comité est fermement déterminé à faire revenir l'inflation à son objectif de 2%", a déclaré la banque centrale des Etats-Unis dans le communiqué annonçant la troisième hausse de taux de 75 points de base consécutive décidée par son comité de politique monétaire, le FOMC (Federal Open Market Committee).
La Bourse de Paris a effacé ses pertes, dans l'attente de la décision de la Fed, tandis que les actifs dits refuge, ainsi que les valeurs pétrolières et de ...
La plupart des économistes tablent sur une hausse des taux de la Fed de 75 points de base ce soir, qui serait la troisième consécutive d’une telle ampleur et porterait le loyer de l’argent dans une fourchette de 3% à 3,25%. Mais le marché surveillera surtout les nouvelles projections de la Fed sur l’évolution des taux d’intérêt, le fameux « dot plot ». Celui de l’emprunt américain à 10 ans diminue de 4 points de base à 3,5377%, revenant ainsi d’un plus haut de 10 ans à 3,6%. Dans le même temps, le rendement de l’emprunt allemand à 10 ans se détend de 8 points de base à 1,88% après avoir atteint un pic de 8 ans la veille. Le président russe a décrété ce mercredi une « mobilisation partielle » dans le cadre de son offensive contre l’Ukraine en accusant l’Occident de s’engager dans un chantage nucléaire contre son pays. Le calme apparent pourrait s’expliquer par le fait que l’attentisme est généralement de rigueur à l’approche des décisions monétaires de la Fed, « avant que les grands mouvements se mettent en place » une fois celles-ci connues, rappelait Jim Reid, de Deutsche Bank, ce matin.
Il s'agit de la troisième hausse d'affilée de ce niveau par la banque centrale américaine, les taux se situant désormais dans une fourchette comprise entre ...
Le taux de chômage actuel (3,7 %) est l’un des plus bas des cinquante dernières années et il n’y a pas assez de travailleurs pour occuper tous les postes vacants. L’excellente santé du marché du travail offre à la Fed des marges pour agir de façon agressive. « Le comité est fermement déterminé à faire revenir l’inflation à son objectif de 2 % », a déclaré la banque centrale des Etats-Unis dans un communiqué.
PARIS (Reuters) - Les Bourses européennes ont terminé en nette hausse et Wall Street progressait à mi-séance mercredi, les investisseurs...-infos-reuters.
% % Var. % Indices Dernie Var. Le titre Uniper, lui, a chuté de 25,29%. À Paris, le CAC 40, qui a cédé jusqu'à 1,07% en début de séance, gagne en clôture 0,87% (51,86 points) à 6.031,33 points.
... * Communiqué de politique monétaire de la Fed à 18h00 GMT * Une hausse de taux d'au moins 75 pdb attendue aux USA * Poutine mobilise les réservistes ...
Indices Clôture Var. Var. À Indices Dernier Var. Fortum bondit de 8,97% à la faveur de l'annonce de la cession à de Wall Street en hausse de 0,36% pour le Dow Jones, de 0,59% pour le
La banque centrale des États-Unis porte ainsi le taux des Fed Funds entre 3 % et 3,25 %. Il s'agit de la troisième hausse consécutive de cette ampleur, pour ce ...
» Ce ton favorable plaide en faveur de nouvelles hausses de taux directeur prochainement lors des prochaines réunions de la Fed en novembre et décembre. Le dollar en revanche, profite de cette hausse de taux. La Fed l'avait maintenu à zéro de mars 2020 à mars 2022 en vue de combattre le risque de déflation pendant la crise du Covid. Le rendement des obligations du Trésor américain à 2 ans, de 0,73 % début janvier, a remonté à plus de 4 %. Les hausses de salaires ne suffisent pas à compenser les augmentations de prix, mais elles alimentent néanmoins l'inflation via les coûts des entreprises alors que la productivité des employés recule. Il s'agit de la troisième hausse consécutive de cette ampleur, pour ce taux de référence du crédit à court terme aux États-Unis.
Les marchés, qui auront pris connaissance de la décision de politique monétaire de la Fed mercredi soir, se pencheront sur le cas de la Banque d'Angleterre.
[Banque centrale européenne](https://investir.lesechos.fr/recherche/?exec=1&texte=BCE&nr=1) de publier son bulletin économique. Place, en fin de matinée, à l’indice de confiance des consommateurs de la [zone euro](https://investir.lesechos.fr/recherche/?exec=1&texte=zone%20euro&nr=1) pour le mois de septembre. L’indice des indicateurs avancés du Conference Board pour le mois d’août est anticipé en repli symbolique de 0,1% par le consensus Bloomberg ; enfin l’enquête manufacturière de septembre telle que présentée par la Fed de Kansas City devrait rendre compte d’une hausse de 2 points de son indice, à 5. Du côté des publications, bon nombre de résultats du premier semestre figurent au programme. Ce sera ensuite au tour de la Pas de répit pour les marchés.
Le président de la Fed, Jerome Powell, lors d'une conférence de presse, le 27 juillet 2022...
La Fed privilégie cet indice d'inflation, qui s'est établi à 6,3% sur un an en juillet, selon le plus récent chiffre disponible, à l'indice CPI, qui fait référence pour l'indexation des retraites notamment. Ainsi, la Fed, qui a également actualisé ses prévisions pour l'économie américaine, prévoit désormais une croissance du PIB quasi-nulle en 2022 (+0,2%), quand elle tablait, en juin, sur +1,7%. J'aimerais qu'il existe un moyen indolore de le faire mais ce n'est pas le cas", a expliqué M. Cela fait baisser les ventes dans ce secteur qui avait affiché une bonne santé insolente depuis le début de la pandémie. Il a même alerté sur les risques qui pourraient être posés par "un assouplissement prématuré de la politique" monétaire. Elle avait commencé en mars par un relèvement habituel d'un quart de point, avant une hausse d'un demi-point en mai.
Face à l'inflation, la banque centrale américaine vient d'annoncer contre-attaquer avec une nouvelle hausse des taux de trois quarts de point de ...
La banque centrale américaine, comme ses homologues partout dans le monde, tente de juguler une inflation provoquée par les perturbations de la chaîne d'approvisionnement liées au covid-19, et exacerbée par la hausse des prix de l'énergie et de l'alimentation avec la guerre en Ukraine. Celui-ci a, certes, ralenti en août aux États-Unis, grâce à la baisse des prix de l'essence, mais, à 8,3% sur un an en août, a montré une pression toujours très forte sur les prix, avec une inflation généralisée. Les taux des prêts immobiliers, par exemple, ont ainsi grimpé depuis le début de l'année, et viennent de dépasser les 6% pour un prêt sur 30 ans, pour la première fois depuis 2008. [ taux d'intérêts](https://www.capital.fr/tag/taux-d-interet) des divers prêts aux particuliers et professionnels, afin de faire ralentir l'activité économique, et donc de desserrer la pression sur les prix. Il a même alerté sur les risques qui pourraient être posés par "un assouplissement prématuré de la politique" monétaire. Et elle anticipe que des hausses supplémentaires seront nécessaires en 2022, est-il indiqué dans le communiqué, jusqu'à faire monter le taux directeur d'encore un point de pourcentage.
Après l'annonce de la banque centrale américaine (Fed) sur la hausse de ses taux, mercredi 21 septembre, le dollar a bondi à son plus haut niveau depuis 20 ...
Pour autant, Christopher Vecchio ne s'attend pas à ce que le "buck", autre surnom du dollar, aille beaucoup plus loin dans les prochaines heures. Le rythme échevelé de la Fed met sous pression l'ensemble des grandes banques centrales, notamment la Banque d'Angleterre (BoE), qui publiera jeudi sa décision de politique monétaire. Gare à la crise de l’énergie !”](https://www.capital.fr/entreprises-marches/clap-de-fin-pour-leuro-1445348) Le Dollar Index, indice qui compare le dollar à plusieurs grandes monnaies, a été propulsé mercredi à un sommet de plus de 20 ans (juin 2002). "La Fed nous dit que les L'annonce de la Réserve fédérale s'est ajoutée aux déclarations du président russe
Le dollar est monté à son plus haut niveau face à l'euro depuis près de vingt ans après l'annonce d'une hausse de taux de la banque centrale américaine ...
Pour autant, Christopher Vecchio ne s’attend pas à ce que le « buck », autre surnom du dollar, aille beaucoup plus loin dans les prochaines heures. Le président de la Fed, Jerome Powell, a ainsi alerté sur les risques qui pourraient être posés par « un assouplissement prématuré de la politique » monétaire. Le « catalyseur » de ce nouveau coup de reins du dollar a plutôt été, selon lui, l’actualisation des projections des membres de la Fed en matière d’évolution du taux directeur. Le « greenback », l’un des nombreux surnoms du dollar, a également enregistré un record face à la livre sterling depuis mars 1985, à 1,1238 dollar pour une livre. « Les risques de baisse sont limités pour le dollar avec une Fed qui prévoit encore une hausse de plus d’un point de son taux d’ici la fin de l’année », a commenté Joe Manimbo, de Convera, dans une note. « La Fed nous dit que les taux vont atteindre entre 4,4 % et 4,9 % en 2023, ce qui est plus que ce que le marché avait intégré », à savoir environ 4,5 % au pic du cycle de resserrement monétaire, a expliqué Christopher Vecchio.
... * L'indice Stoxx 600 a gagné 0,9%, le CAC 40 à Paris 0,87% * Wall Street dans le vert à mi-séance * Une hausse de taux de trois quarts de point de la ...
% % % Var. Indices Dernie Var. % YTD Le dollar bénéficie à la fois de son statut de valeur refuge après les
La Bourse de Paris temporise dans l'attente de la décision de la Fed alors que Vladimir Poutine a décrété une « mobilisation partielle ».
Les économistes tablent majoritairement sur une hausse de 75 points de base des taux de la Fed ce soir, qui serait la troisième consécutive de cette ampleur et porterait le loyer de l’argent dans une fourchette de 3% à 3,25%. Mais le marché surveillera surtout les nouvelles projections économiques de la Fed et ses estimations sur l’évolution des taux d’intérêt, le fameux « dot plot ». [la signature d'un accord d'une durée de dix ans avec la compagnie pétrolière saoudienne Saudi Aramco](https://investir.lesechos.fr/actions/actualites/vallourec-signe-un-accord-d-une-duree-de-dix-ans-avec-la-compagnie-saudi-aramco-2035041.php) portant sur la fourniture de tubes de cuvelage premium et de services destinés à ses activités de forage. Dans le même temps, le rendement de l’emprunt allemand à 10 ans se détend de 4 points de base à 1,88% après avoir atteint un pic de 8 ans la veille. Il répond ainsi à l’Otan, qui a dénoncé la décision de Moscou d’organiser un référendum dans les républiques pro-russes de Donetsk et de Luhansk entre les 23 et 27 septembre. Vers 16 heures, le Cac 40 reprend 0,45% à 6.006,59 points après un point bas à 5.915,57 (-1,06%), dans un volume d’affaires de 1,2 milliard d’euros. Celui de l’emprunt américain de même maturité diminue de 3 points de base à 3,54%, revenant ainsi d’un plus haut de 10 ans. Un scrutin est également prévu à Kherson et dans plusieurs villes de la région de Zaporijjia. Pékin a tenté de calmer le jeu en appelant au dialogue entre toutes les parties. L’once d’or s’apprécie pour sa part de 0,6% à 1.673,58 dollars sur le marché spot à Londres. Le rendement des obligations diminue lorsque leur prix augmente à la suite d’achats. [Fed](https://investir.lesechos.fr/recherche/actualites/?exec=1&texte=FED&nr=1), [Vladimir Poutine](https://investir.lesechos.fr/recherche/?exec=1&texte=Vladimir%20Poutine&nr=1) a proféré de nouvelles menaces allant dans le sens d’une intensification de la guerre en [Ukraine](https://investir.lesechos.fr/recherche/?exec=1&texte=Ukraine&nr=1).
Lors d'une conférence de presse, Jerome Powell a estimé qu'il faudra une croissance ralentie pour ramener l'inflation à un niveau d'avant-crise.
"Il n'y a pas de place pour de la complaisance sur l'inflation, a martelé Jerome Powell. Je ne connais pas la probabilité d'une récession, il est très probable que nous aurons une période de croissance bien plus faible." La Fed anticipe désormais une croissance quasi nulle pour 2022 (+0,2%) contre 1,7% prévu en juin.
La Réserve Fédérale américaine a annoncé ce mercredi relever l'objectif de taux de ses fed funds de 75 points de...
- 0 vote Les informations et conseils rédigés par la rédaction de Boursier.com sont réalisés à partir des meilleures sources, même si la société Boursier.com ne peut en garantir l'exhaustivité ni la fiabilité. Les décisions du jour ont été prises à l'unanimité.
Wall Street a clôturé en baisse, ce mercredi 21 septembre, quelques heures après la décision de la banque centrale américaine (Fed) de relever ses taux., ...
Coté actions, la glissade de fin de séance a été accentuée par les poids lourds de la cote, en particulier les valeurs technologiques, qui vivent mal la perspective du durcissement des conditions de financement. Apple (-2,03%), Amazon (-2,99%) et Meta (-2,72%) ont tous perdu plus de 2%. Une projection que les investisseurs avaient largement faite leurs depuis le discours de Jerome Powell à Jackson Hole (Wyoming), fin août, ce qui avait plombé les actions et propulsé les taux obligataires vers le ciel. En outre, pour l'analyste, si la Fed a bien dessiné une trajectoire de taux plus élevée que prévu, elle n'a été "plus agressive qu'à la marge". "On pourrait voir une poursuite des tendances récentes d'ici la fin de la semaine, remontée des taux et du dollar, baisse des actions et des actifs à risque, à mesure que les traders digèrent la réunion de la Fed", a estimé Matt Weller, de StoneX. Mais pour Art Hogan, le marché a aussi retenu de la conférence de presse du président de la Fed, Jerome Powell, que l'institution déciderait de sa trajectoire en fonction des données macroéconomiques.
La banque centrale américaine (Fed) a donné un nouveau fort tour de vis à sa politique monétaire mercredi, face à une inflation toujours bien trop forte, ...
J'aimerais qu'il existe un moyen indolore de le faire mais ce n'est pas le cas", a expliqué M. Elles sont nombreuses à se réunir cette semaine, notamment, jeudi, la banque d'Angleterre (BoE) et celle du Japon (BoJ). Cela fait baisser les ventes dans ce secteur qui avait affiché une santé insolente depuis le début de la pandémie. Elle la voit rebondir ensuite à 1,2% en 2023. Elle avait commencé en mars par un relèvement habituel d'un quart de point, avant une hausse d'un demi-point en mai. "Nous devons réaligner l'offre et la demande.
La salle de contrôle d'Euronext, société qui gère la Bourse de Paris ( Eric PIERMONT /...
- 0 vote Le titre a gagné 1,55% à 48,93 euros.■ Le directeur de la recherche macroéconomie chez Saxo Bank Christopher Dembik mise sur une hausse de 75 points de base.
Le président de la banque centrale américaine a annoncé mercredi une troisième augmentation consécutive de 0,75 % de ses taux directeurs.
» Selon la banque centrale, la croissance devrait tomber à + 0,2 % cette année et à + 1,2 % en 2023 (contre + 1,7 % chaque année lors de son estimation de juin), tandis que le taux de chômage devrait remonter à 4,4 % de la population active en 2023 et 2024, alors qu’il est proche des plus bas historiques (3,7 %). Ce reflux ne saurait masquer que l’alimentation continue d’augmenter, tout comme le logement, premier poste de l’indice, en hausse annuelle de 6,2 %. Ainsi l’idée qu’il est possible de combattre l’inflation, qui est à son plus haut niveau depuis quarante ans, en ayant des hausses de taux mineures est-elle définitivement morte. Ce probable durcissement est de 1,2 point supérieur aux prévisions de juin. In fine, en 2023, le loyer de l’argent devrait dépasser 4,5 %. Il s’agit du plus haut niveau depuis 2008, au début de la grande crise financière.
La Bourse de Paris a rebondi de 0,87% mercredi, après avoir largement reculé lors des dernières séances, anticipant une forte hausse des taux de la banque ...
Le titre a grimpé de 6,34% à 10,15 euros. Christopher Dembik s'attend à « une accélération des hausses de taux », ce à quoi les marchés ne sont pas totalement préparés et qui pourrait provoquer un choc. Le directeur de la recherche macroéconomie chez Saxo Bank Christopher Dembik mise sur une hausse de 75 points de base.
Un opérateur du New York Stock Exchange ( SPENCER PLATT / GETTY IMAGES NORTH AMERICA/AFP )La...
- 0 vote l'AFP ne pourra être tenue pour responsable des délais, erreurs, omissions, qui ne peuvent être exclus ni des conséquences des actions ou transactions effectuées sur la base de ces informations. Toutes les informations reproduites dans cette rubrique (dépêches, photos, logos) sont protégées par des droits de propriété intellectuelle détenus par l'AFP. "Cela ne change pas le ton général", celui d'une bataille contre l'inflation qui va encore durer de longs mois. - 1 vote
Le Dow Jones cède 1,7%, le S&P 500 1,71% et le Nasdaq 1,79%. La Fed relève l'objectif de taux des fonds fédéraux de trois quarts de point de pourcentage.
Le taux de Son homologue à cinq ans, a reculé de -0,4 point de base à 3,7485%. [WTI](https://investir.lesechos.fr/cours/matiere-premiere-petrole-wti-new-york,wmpcb,cl,cl,opid.html) s'établissait quant à lui à à $83,34 (-0,70%) et le brent à $90,20 (-0,45%). Sur le marché obligataire, le papier à dix ans a cédé 5,9 points de base pour s'établir à 3,5142%. Le Le Nasdaq Composite a reculé de son côté de 204,86 points (-1,79%) à 11.220,19 points.
par Claude ChendjouPARIS (Reuters) - Les principales Bourses européennes sont attendues en baisse jeudi dans le sillage de Wall Street alors.
Le rendement du premier s'affiche à 3,5416% et celui du second à 4,1320% sur les marchés asiatiques. A la Bourse de Tokyo, l'indice Nikkei, qui a touché en séance un creux de deux mois, recule de 0,57% à 27.156,21 points. Le dollar, en hausse de 0,88% face à un panier de devises de référence, continue de bénéficier à la fois de son statut de valeur refuge et de la remontée des taux d'intérêt américains. Le yen est tombé à un plus de 20 ans à 145,5 dollar avant l'annonce des décisions de la Banque du Japons. Sur le marché obligataire, l'écart de rendement entre les bons du Trésor américain papier à dix ans et celui à deux ans se creuse à 56 points, les investisseurs se préparant à une récession. [Japon](https://www.usinenouvelle.com/japon/), la Banque centrale du pays a conservé jeudi sa politique ultra-accommodante, maintenant l'objectif de taux à court terme à -0,1%, creusant ainsi un peu plus l'écart entre sa stratégie et celles menées par les autres grandes banques centrales du monde.
La fermeté de la Fed dans sa politique de remontée du taux directeur face à l'envolée de l'inflation galvanise le dollar, qui a explosé à la hausse cet été.
Momentum, la lettre d’investissement et newsletter premium quotidienne dédiée de Capital, aide ses lecteurs à identifier des points d’entrée (achat) et de sortie (vente) sur les actions (et les principales cryptomonnaies). [dollar](https://www.capital.fr/entreprises-marches/leuro-sechange-a-parite-avec-le-dollar-pour-la-premiere-fois-depuis-2002-1441412) pourrait bien jouer le rôle de devise refuge, faute d'alternative crédible “dans les conditions de marché actuelles”, juge IbanFirst, qui redoute un regain de volatilité sur le marché des changes, alors que “beaucoup de banquiers centraux réfléchissent aux moyens de lutter contre la chute de leur devise nationale”, ce qui peut passer par “une intervention directe sur les changes”. Si c'est “un petit changement”, il est néanmoins “très significatif”, pour IbanFirst, car c'est interprété comme un message faucon par le marché (en faveur d'une accélération de la montée du loyer de l'argent). “Il y a débat à ce sujet”, relève IbanFirst, pour qui on “ne peut pas exclure que la combinaison de l'inévitable entrée en récession de la zone euro et du durcissement des conditions financières aux États-Unis pousse l'économie américaine dans une contraction prolongée de l'activité pendant plusieurs trimestres”. [l’inflation](https://www.capital.fr/entreprises-marches/leuro-febrile-face-au-dollar-gare-a-lenergie-et-a-linflation-le-conseil-bourse-1443617) reste très élevée (et pire que prévu) aux Etats-Unis en dépit de l’inflexion des derniers mois. Alors que l’inflation se généralise, frappant de nombreux pans de l’économie américaine, “la Fed a clairement tracé la voie pour les prochains mois”, souligne IbanFirst, alors que d'autres hausses de taux sont à venir (probablement de 0,75 point de pourcentage en novembre et de 0,50 point en décembre).
... * L'objectif de taux des "fed funds" relevé de 3/4 de point. * Deux autres hausses à attendre d'ici la fin de l'année. * La croissance aux USA devrait ...
(Reportage Howard Schneider et Ann Saphir, version française Marc Angrand) Depuis, elle s'efforce de rattraper son retard. "J'aimerais qu'il y ait une méthode indolore pour y parvenir.
Comme largement attendu, la Fed a annoncé hier soir sa troisième hausse de taux consécutive de 75 points de base,...
- 0 vote Les informations et conseils rédigés par la rédaction de Boursier.com sont réalisés à partir des meilleures sources, même si la société Boursier.com ne peut en garantir l'exhaustivité ni la fiabilité. Et de préciser : "La médiane des projections donne une hausse de taux de 125 points de base d'ici la fin de l'année". Selon Powell, "le marché du travail américain reste "extrêmement tendu", mais nous prévoyons que l'offre et la demande sur le marché du travail se rééquilibreront au fil du temps". Lors de sa conférence de presse, Jerome Powell, patron de la Fed, a affirmé que son message principal n'avait pas changé depuis Jackson Hole, la Fed étant fermement résolue à continuer à travailler jusqu'à ce que l'inflation revienne à 2%, au prix d'une certaine douleur économique - pour ne pas utiliser le terme banni de récession. La prévision médiane pour 2024 est de 3,9% (contre 3,4% en juin) et la prévision initiale pour 2025 est de 2,9%.
(CercleFinance.com) - Après son timide sursaut de la veille (+0,9%), la Bourse de Paris devrait retrouver le chemin de la baisse jeudi matin, ...
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Londres (awp/afp) - Le dollar a atteint jeudi de nouveaux sommets face aux autres grandes monnaies, galvanisé par la hausse des taux de la Réserve fédérale ...
La banque centrale suisse a pour sa part emboîté le pas à la Fed en relevant son taux de 0,75 point, en terrain positif, mais s'est montrée moins déterminée pour ses prochaines réunions. EUR/USD 0,9814 0,9837 A l'inverse, au Japon, la Banque centrale a maintenu sa politique monétaire ultra-accommodante.
PARIS (Reuters) - Les principales Bourses européennes ont ouvert en baisse jeudi, dans le sillage de Wall Street, qui a été pénalisée la veille par les ...
L'écart entre les deux échéances est tombé à 4,9 points, renforçant les signes d'un aplatissement de la courbe des taux, voire d'une inversion. Les investisseurs attendent désormais les décisions de la Banque d'Angleterre (BoE) à 11h00 GMT. À Paris, le CAC 40 abandonne 0,51% à 6.000,43 vers 08h30 GMT.