Le président russe devrait s'exprimer mercredi matin après que les autorités séparatistes de quatre régions ukrainiennes ont annoncé la tenue de référendums ...
[Lire tous nos articles, analyses et reportages sur la guerre en Ukraine](https://www.lemonde.fr/crise-ukrainienne/) - Dans l’oblast de Kharkiv (Nord-Est), frontalière de la Russie, les forces ukrainiennes disent avoir repris ce mois-ci des milliers de kilomètres carrés. [Ukraine : à Izioum, dans la cité des morts](https://www.lemonde.fr/international/article/2022/09/18/ukraine-a-izioum-dans-la-cite-des-morts_6142159_3210.html) Selon l’opérateur Energoatom, « une puissante explosion s’est produite à seulement 300 mètres des réacteurs » de cette centrale, en attribuant la cause à une frappe nocturne d’un missile russe. [Dans l’ancien empire soviétique, la reprise des conflits révèle l’impuissance de la Russie](https://www.lemonde.fr/international/article/2022/09/20/dans-l-ancien-empire-sovietique-la-reprise-des-conflits-revele-l-impuissance-de-la-russie_6142346_3210.html) Washington a dénoncé des simulacres, et Emmanuel Macron a déclaré que ces référendums ne seraient pas reconnus par la communauté internationale.
Le président ukrainien a salué ce mardi soir la condamnation par l'Occident du projet de "référendums" d'annexion de territoires occupés par la Russie.
De quoi pousser le chef de l'État à rappeler une nouvelle fois que la Russie mettait "en danger le monde entier", appelant à "l'arrêter tant qu'il n'est pas trop tard". La Russie et l'Ukraine en guerre se sont accordées pour procéder à "l'échange de 200 prisonniers", a affirmé lundi soir le président turc Recep Tayyip Erdogan à la télévision américaine PBS. Pour Erdogan, qui a rencontré le président russe Vladimir Poutine la semaine dernière à Samarcande (Ouzbékistan), le chef du Kremlin "veut en finir au plus vite" avec cette guerre. Le président russe Vladimir Poutine a promis mardi de poursuivre sa politique étrangère "souveraine" et dénoncé la volonté d'"hégémonie" américaine avant l'Assemblée générale des Nations unies, marquée cette année par l'offensive de Moscou en Ukraine. "Je pense que ce qui a été annoncé par la Russie est une parodie", a encore dénoncé le chef de l'État français. La menace ne peut être liquidée que par la force", a écrit sur Telegram le chef de l'administration présidentielle ukrainienne, Andriï Iermak. "J'appelle à cette tribune les membres des Nations unies à agir pour que la Russie renonce au choix de la guerre, en mesure le coût pour elle mêle et pour nous tous et mette un terme à son agression. "La menace ne peut être liquidée que par la force", a écrit sur Telegram le chef de l'administration présidentielle ukrainienne, Andriï Iermak. À cette occasion, il a estimé qu'aujourd'hui "nous avons un choix simple à faire au fond, celui de la guerre ou de la paix". "Notre position ne change pas en fonction de ce bruit ou n'importe quelle autre annonce", a ajouté le chef de l'État appelant à "maintenir la pression" sur la Russie. "La Russie doit désormais entendre qu'elle ne saurait imposer quelque volonté par des moyens militaires, même en y adjoignant avec cynisme des simulacres de référendum, dans des territoires bombardés et désormais occupés", a déclaré Emmanuel Macron à la tribune de l'ONU. Notre position ne change pas en fonction de ce bruit ou n'importe quelle autre annonce", a ajouté le chef de l'État, appelant à "maintenir la pression" sur Moscou.Suivez les dernières informations.
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[Volodymyr Zelensky](https://www.20minutes.fr/volodymyr-zelensky) - par vidéo grâce à une autorisation spéciale votée la semaine dernière par les Etats membres - et un Conseil de sécurité jeudi au niveau des ministres des Affaires étrangères. Après le secrétaire général, pendant plusieurs jours, des dizaines de chefs d’Etat et de gouvernement du monde entier vont prendre la parole lors de cette grand-messe [diplomatique ](https://www.20minutes.fr/diplomatie)annuelle. Les autorités installées par Moscou dans quatre régions d’Ukraine ont annoncé ce mardi la tenue dans l’urgence du 23 et 27 septembre de « [référendums ](https://www.20minutes.fr/referendum)» d’annexion par la Russie, en pleine contre-offensive ukrainienne. Américains et Européens ont organisé mardi une réunion ministérielle sur la sécurité alimentaire, conséquence de cette guerre dont souffre toute la planète. Ces scrutins, prévus dès cette semaine, interviendront alors que l’Ukraine entrera dans son 8e mois de guerre et que toutes ces zones font l’objet de combats. Qui a dit quoi ? Qui a fait quoi ? - Qui a fait quoi ? [Ukraine](https://www.20minutes.fr/ukraine). - La Russie a lancé son « opération militaire » en Ukraine le jeudi 24 février. [Ukraine](https://www.20minutes.fr/monde/ukraine/) ? Et qui soutient qui et pourquoi ?
Cette photo prise le 20 mai 2022 donne à voir un militaire russe près de la centrale hydroélectrique de Kakhovka, dans l'oblast de Kherson, au milieu de l' ...
Face à une situation « difficile », « l’administration régionale fera tout ce qui est nécessaire pour assurer la sécurité de tous les résidents de la région » lors du scrutin, a affirmé M. « Je vous informe que conformément au décret, le référendum se tiendra du 23 au 27 septembre 2022 », a indiqué le chef de l’administration d’occupation Vladimir Saldo sur Telegram, peu après que les régions séparatistes prorusses du Donbass (est) ont annoncé un scrutin similaire pour les mêmes dates. C’est le chef du « Parlement » autoproclamé de la région de Lougansk, Denis Mirochnitchenko, qui a annoncé le premier les dates du scrutin ce mardi. Dans un message publié sur Telegram, le chef des séparatistes de Donetsk, Denis Pouchiline, a exhorté Vladimir Poutine à annexer la région après le référendum. [Kherson](https://www.huffingtonpost.fr/international/article/guerre-en-ukraine-a-kherson-de-violents-combats-pour-reprendre-la-ville-aux-russes_207115.html) et Zaporijjia du 23 au 27 septembre, déclenchant immédiatement une vague de colère à Kiev. Des régions que le président russe
Le chef de l'Etat, qui s'exprime à New York, lors de la 77e Assemblée générale des Nations unies (ONU), estime par ailleurs que l'invasion russe en Ukraine ...
16h09 : Un référendum d'annexion par la Russie de la région de Kherson, dans le sud de l'Ukraine, sous contrôle des troupes de Moscou, a également été fixé du 23 au 27 septembre, annonce l'administration d'occupation. 17h14 : La Russie a renforcé son "chantage nucléaire" contre Kiev avec son bombardement lundi du site d'une deuxième centrale ukrainienne, celle de Pivdennooukraïnsk (sud), déclare le directeur de cette installation Igor Polovitch. Son franchissement ouvrirait en effet de nouvelles perspectives militaires dans la région de Louhansk (Donbass). 18h19 : Le ministère russe des Affaires étrangères signifie dans un communiqué à la France le caractère "inacceptable" à ses yeux des livraisons d'armes occidentales à l'Ukraine. 20h11 : Emmanuel Macron fustige "un retour à l'âge des impérialismes et des colonies", tout en "assumant la conduite du dialogue avec la Russie". 14h46 : "L'Ukraine va régler la question russe. 19h06 : "Il s'agit d'une provocation supplémentaire qui, à nos yeux, ne donnerait lieu à aucune conséquence sur la position qui est la nôtre : la Russie doit quitter le territoire ukrainien (...) et respecter les frontières reconnues. Il les a qualifiés de "parodies". Le 24 février dernier, la Russie, membre permanent du Conseil de sécurité de l'ONU, a rompu, par un acte d'agression, d'invasion et d'annexion, notre sécurité collective." "La Russie ne saurait imposer sa volonté par des moyens militaires." La patronne pro-Poutine de Russia Today, Margarita Simonian, et le journaliste de Rossiya 1, Vladimir Soloviov, ont également envoyé des messages en ce sens sur Telegram. 20h20 : Le président français continue son discours très véhément contre la Russie.
Le Kremlin a qualifié lundi de «mensonge» la découverte de centaines de tombes dans une forêt près de la ville d'Izioum, récemment reprises par les forces ...
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Les séparatistes prorusses des régions du Donbass ont annoncé que les référendums d'annexion par la Russie auraient lieu du 23 au 27 septembre.
Ces référendums "sont d'une grande importance non seulement pour la protection systémique des habitants (...) mais aussi pour le rétablissement de la justice historique", a déclaré l'ex-président russe sur Telegram. La seule chose qui existe, c'est la guerre décidée par la Russie, la résistance de l'Ukraine et la fin de la guerre que nous souhaitons", a ajouté le président français en marge de l'assemblée générale de l'ONU à New York. Notre journaliste est allée à la rencontre de plusieurs d'entre eux dans la région de Kharkiv. Si la contre-offensive de Kiev a pris de court les troupes russes, l'étendue de son succès a tout autant surpris des soldats ukrainiens. Selon Dmitri Medvedev, "la transformation géopolitique du monde deviendra irréversible" après "l'intégration de nouveaux territoires" en Russie. Il a minimisé l'importance de la convocation dans l'urgence de ces "référendums". Ces scrutins auront lieu dans les régions de Donetsk et de Lougansk, dont le président russe Vladimir Poutine a reconnu l'indépendance peu avant de lancer son offensive contre l'Ukraine en février dernier. "La communauté internationale doit condamner cette violation flagrante du droit international et renforcer son soutien à l'Ukraine", a-t-il ajouté. "Il y a eu "aujourd'hui des nouvelles assez bruyantes provenant de la Russie. "Je pense que c'est une parodie, ce qui a été annoncé par la Russie. Moscou est en faveur d'une accélération de ce processus qualifié de "provocation supplémentaire" par le président français, Emmanuel Macron. Les séparatistes prorusses des régions du Donbass ont annoncé que les référendums d'annexion par la Russie auraient lieu du 23 au 27 septembre.