En quête d'un meneur de jeu, l'Espagne a recruté quelques semaines avant l'Eurobasket le meneur américain Lorenzo Brown, qui n'a pourtant jamais joué en ...
Cette circulation du ballon et le fait de jouer ensemble ont été la clé de notre succès aujourd’hui et de notre succès dans ce tournoi. La circulation du ballon était donc la clé de la victoire, et la circulation du ballon repose sur l’effort collectif. Il a répondu présent en fin de rencontre et a été excellent en défense sur Schröder. Notre stratégie a bien fonctionné face à leur attaque et face à leur défense ». Il a fallu beaucoup de courage de notre part. « Nous ne pouvions pas espérer une manière différente d’intégrer un nouveau joueur qui arrive, qui apprend à jouer avec nous, qui apprend à jouer aux cartes, qui passe du temps avec les gars et qui crée une excellente alchimie du point de vue humain.
Sans son Américain naturalisé Lorenzo Brown (1,96 m, 32 ans), l'Espagne n'aurait pas atteint la finale de l'EuroBasket. Son cas a fait débat dans le basket ...
L’intégration et le leadership ont été plus que ce à quoi je m’attendais ». En quelque sorte, c’est sur le terrain que l’Américain naturalisé à clos la polémique. Il pourrait bien figurer à sa place dans le Cinq All-Star de l’EuroBasket, et même en être élu MVP si l’Espagne venait à être championne d’Europe.
Il est celui qui a porté l'Espagne sur ses épaules hier en demi-finale, il est le meneur naturalisé de la Roja sur cet Euro, il assume le fait de ne pas ...
Lorenzo Brown, bienvenue dans le monde merveilleux de la rivalité entre la France et l’Espagne. Impossible de passer à côté du talent du meneur de la Roja et du Maccabi Tel-Aviv, qui participe depuis le début de l’Euro à faire de l’Espagne une équipe qui gagne, encore et toujours. Pas forcément la garantie d’une mêlée générale en 2022, mais un devoir de mémoire qui nous semble obligatoire à la veille d’un tel choc, d’un tel classique.
Naturalisé quelques mois seulement avant l'Euro, le meneur US sera l'un des principaux atouts de la Roja face à la France ce dimanche (20h30), en finale.
Le sélectionneur italien de la Roja Sergio Scariolo, à la baguette lors de quatre des cinq titres espagnols, a côtoyé le meneur lorsqu'il était coach assistant des Toronto Raptors en NBA. Il y a beaucoup de joueurs espagnols qui peuvent prétendre à sa place et, au final, ils n'auront peut-être pas la reconnaissance qu'ils méritent avec le recrutement de ce joueur.» Le Lituanien Mindaugas Kuzminskas l'était moins après son élimination en huitièmes de finale quand un journaliste espagnol lui a demandé ce qui avait manqué à sa sélection: «Je ne sais pas à quoi ressemblerait cette équipe espagnole sans Lorenzo Brown, parce que vous l'avez recruté seulement cet été. Une pratique permise par les règles de la Fédération internationale (Fiba) qui autorisent à chaque équipe un joueur naturalisé, même sans aucun lien avec le pays qu'il représente. Raison pour laquelle il n'était pas franchement au fait vendredi de la rivalité franco-espagnole en matière de basket. Sa naturalisation a posé question mais le parcours jusqu'en finale de l'Eurobasket-2022 de l'Espagne doit beaucoup au recrutement du meneur américain Lorenzo Brown, principal artisan du succès ibérique.