Quelques jours après la révélation de l'existence d'une "maison de l'horreur" à Noyelles-sous-Lens (Pas-de-Calais), l'un des dix enfants maltraités a livré ...
L'un des enfants maltraités dans une maison de Noyelles-sous-Lens, dans le Pas-de-Calais, a témoigné face à la caméra du terrible quotidien vécu par les 10 ...
Des sévices et mauvais traitements qui vaudront aux deux parents, âgés de 44 et 40 ans, de comparaître devant le tribunal correctionnel en janvier. Des violences physiques, mais aussi morales, envers l’aîné de la famille, « mon frère aîné, homosexuel, qui en a certainement pris plus que moi ». Un quotidien fait de coups « de bâton, de fouet, de chaussures de sécurité, de raclette, de balai, de casque de scooter…
Après avoir porté plainte contre ses propres parents, suspectés de mauvais traitements sur leurs dix enfants, l'un des enfants du couple a dressé un ...
"C’était leur seul revenu, s’il n’y avait pas d’enfant à la suite, ils perdaient de l’argent". Tous les enfants vivaient dans des conditions indignes, notamment deux petits, ligotés à leur chaise haute et couverts d’excréments. Bryan, 21 ans, a sans doute sauvé la vie de certains de ses neufs frères et sœurs.
Bryan, l'un des enfants maltraités de Noyelles-sous-Lens, a témoigné ce mardi soir sur BFMTV. "Maison de l'horreur, le mot ...
Bryan décide alors de faire appel à des assistantes sociales et leur raconte ce qui se passe au domicile "pour sortir les enfants de là". Tous ses frères et sœurs ont été placés, mais Bryan affirme qu'"ils ne vont pas bien". La scène de trop pour Bryan: "j'ai donc décidé le lendemain que c'était un stop, je ne pouvais plus voir et vivre des scènes que j'ai vécues". On est leur salaire, l'argent ne va pas aux enfants", a-t-il encore affirmé. Le père de famille, le beau-frère et l'une des sœurs s'en prennent à l'un des frères âgé de 16 ans. "Il n'y a aucune famille à ma connaissance qui a ce fonctionnement-là, avec autant de violences physiques et verbales", a-t-il ajouté.
Bryan revient sur les sévices qu'il a subis pendant plusieurs années, à l'instar de ses frères et sœurs, de la part de ses parents. "J'ai vécu beaucoup de ...
On est leur salaire", relate-t-il. "Coups de bâton, de fouet, de raquette, de balais"… Il évoque également de dérangeantes "scènes de sexualité" et des enfants attachés des heures durant, selon la chaîne d’information en continu.
Alors qu'une nouvelle « maison de l'horreur » a été découverte à Noyelles-sous-Lens, dans le Pas-de-Calais, Bryan, l'un des dix enfants du couple, ...
« On n’a échappé à aucune des violences », déplore le jeune homme qui précise que certains de ses frères et sœurs étaient devenus les souffre-douleurs de ses parents. [Maison de l’horreur dans le Nord : ces sévices insupportables infligés aux 10 enfants du couple](https://www.mariefrance.fr/actualite/maison-de-lhorreur-nord-sevices-insupportables-infliges-aux-10-enfants-couple-655159.html) [Estelle Mouzin : son corps bientôt retrouvé ? « Il n’y a aucune famille à ma connaissance qui a ce fonctionnement-là, avec autant de violences physiques et verbales, explique-t-il. On est leur salaire, l’argent ne va pas aux enfants ». « Maison de l’horreur, le mot est trop faible », souffle Bryan qui, ne supportant plus ces humiliations, a décidé de porter plainte au commissariat. Encore traumatisé, Bryan a accepté de se confier au micro de
PAS-DE-CALAIS. Après la découverte d'une fratrie de dix enfants maltraités dans le Pas-de-Calais fin août, le parquet de Béthune s'est saisi de l'affaire de ...
Pire encore, ce n'étaient pas les parents qui étaient suivis mais bien les enfants accusés par le couple de leur causer des problèmes, toujours selon Bryan. Si les policiers ont pu constaté de leurs yeux les négligences évidentes des parents de la "maison de l'horreur", les précisions sur les maltraitances subies par la fratrie viennent du témoignage d'un des enfants. Les deux parents vivant dans la "maison de l'horreur"', un homme de 44 ans et une femme âgée de 40 ans, ont été placés en garde à vue et auditionnés par la police début septembre. Les parents de la "maison des horreurs" étaient surveillés par les services sociaux depuis 2013 mais jouaient de manipulations sur leurs plus jeunes enfants pour camoufler les signes de violence ou de maltraitance selon le témoignage de Bryan. Sur les dix enfants de la famille, âgés de 4 mois à 24 ans, les six plus jeunes vivaient encore dans la "maison de l'horreur" avec leurs parents. [Mis à jour le 7 septembre 2022 à 12h23] La "maison de l'horreur", un nom sans équivoque donné par les médias au domicile dans lequel dix enfants ont été maltraités par leurs parents.
VU DANS LA PRESSE - Ce mardi 6 septembre, l'un des enfants maltraités dans la "maison de l'horreur" a raconté son calvaire.
Il a notamment expliqué avoir été attaché "pendant plusieurs heures, et a évoqué des "scènes de sexualité". À la suite du signalement de Bryan, une enquête a été ouverte. La famille n'était jusque-là pas connue de la Justice. Il explique ensuite qu'il a pris la décision de parler après une "énième bagarre". "Mon père âgé de 44 ans, mon beau-frère âgé de 20 ans, ma sœur âgée de 19 ans se sont mis à trois pour distribuer des coups à mon petit frère de 16 ans. Cela fait déjà une semaine que des policiers ont découvert la présence d'une dizaine d'enfants maltraités dans une maison de Noyelles-sous-Lens (Pas-de-Calais).
C'est le fils aîné qui a donné l'alerte après un énième incident... Et c'est à présent Bryan, qui livre un témoignage poignant de la situation familiale ...
On est leur salaire, l'argent ne va pas aux enfants". Sans oublier des "scènes de sexualité". Aussi fait-il appel à des assistantes sociales pour leur raconter le quotidien de sa fratrie: "coups de bâton, de fouet, de raquette, de balai". Ils ont des amis, mais pas dans leur voisinage. "Et encore, le mot est trop faible". Il n'y a aucune famille à ma connaissance qui a ce fonctionnement-là, avec autant de violences physiques et verbales", a-t-il déclaré à nos confrères de
Le jeune homme de 21 ans raconte l'enfer vécu au domicile de ses parents à Noyelles-sous-Lens, dans ce qui est devenue "la maison de l'horreur.
"Il y a eu des violences de mon oncle envers mon frère homosexuel. Il y avait de l'homophobie", rapporte le jeune homme qui a décidé de lancer l'alerte en allant voir les autorités. "J'ai énormément de haine, ils n'ont aucun remord", lâche Bryan à propos de ses parents. Il y a eu la séquestration de 4 petits enfants", confie Bryan. "Mon frère a eu un coup de casque dans le ventre", décrit-il encore. Depuis quelques jours, une maison de la commune de Noyelles-sous-Lens, dans le Pas-de-Calais, est devenue la "Maison de l'horreur".
Dans le Pas-de-Calais, la police découvre des enfants maltraités en bas âge dans des conditions d'hygiènes misérables. Bryan, l'un des dix enfants, ...
Mais une dispute de trop a éclaté au sein du foyer entre son père, son beau-frère et l’une de ses soeurs : «Je ne pouvais plus voir et vivre des scènes que j’ai vécues» avoue-t-il. Âgé maintenant de 24 ans, l’aîné de la famille explique que lui et ses frères et soeurs «servaient de salaire» et «qu’à chaque enfant parti, un nouveau-né arrivait». La situation a été signalée aux services sociaux par Bryan, désormais père de famille : «Porter plainte contre ses propres parents, c’est très difficile» a-t-il déclaré sur plusieurs chaînes d’informations.
INFO BFMTV - Les ministères de la Justice, de l'Éducation nationale et de la Jeunesse et le secrétariat d'État chargée de l'Enfance saisissent leurs ...
"On sait qu'un certain nombre de signalements ont été transmis par l'Éducation nationale et des tiers, qu'un dispositif d'accompagnement de la famille a été mis en place, mais que la famille n'était pas du tout collaborante", avait-elle ajouté. Elle s'était également déplacée dans le département lundi. La semaine dernière, Charlotte Caubel avait réagi à la situation sur notre antenne.
Un couple a été interpellé à Noyelles-sous-Lens, dans le Pas-de-Calais après avoir été dénoncé par un de leur fils de 24 ans pour des faits de maltraitance ...
L'enquête administrative qu'elle a annoncée lundi doit permettre de "décrypter" pourquoi "les inspections des affaires sociales, de la justice et de l'éducation nationale, aux côtés du département" ont "donné lieu à une réaction si tardive". Outre l'enquête administrative, le gouvernement a proposé de mettre en place un "comité de suivi renforcé" impliquant tous les acteurs du département, une expérimentation autorisée par une loi de février 2022. La famille était "connue" des services depuis un premier signalement en 2013, a indiqué la secrétaire d'Etat chargée de l'Enfance, Charlotte Caubel. Suite à cette sordide affaire, le gouvernement a annoncé lundi 5 septembre l'ouverture d'une enquête administrative pour comprendre comment les dix enfants de la famille du Pas-de-Calais ont pu subir des maltraitances malgré un suivi social. "J'ai vécu beaucoup de violences physiques, beaucoup de violences verbales, et je suis l'un des enfants qui a le moins vécu toutes ces violences" a-t-il également ajouté. Ils doivent être jugés le 24 janvier pour des carences éducatives graves et des "violences sur mineur de 15 ans par ascendant", sans ITT (incapacité totale de travail). J'ai aussi vu mes deux petits frères attachés avec des cordes de peignoir dans des poussettes pour ne pas qu'ils bougent", a énuméré le jeune homme. J'ai vu mon père jeter un casque sur le ventre de mon petit frère", a notamment expliqué Bryan, toujours au micro de BFMTV. Les dix enfants, âgés de quatre mois à 24 ans, vivaient dans des conditions épouvantables. La "maison de l'horreur". "J'ai donc décidé le lendemain que c'était un stop, je ne pouvais plus voir et vivre des scènes que j'ai vécues", a-t-il déclaré à nos confrères. C'est l'aîné de la famille qui a alerté les forces de l'ordre.