Chili

2022 - 9 - 5

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Chili : non massif à la proposition de nouvelle Constitution (TV5MONDE Info)

Une Chilienne dépose son vote sur le référendum de la Constitution à Santiago, le 4 septembre 2022. AP/Cristobal Escobar.

Nadie anticipó esta distancia de mas de 20 puntos porcentuales. Mais des voix de centre-gauche se sont également jointes aux protestations. Ces deux régions connaissent de graves problèmes de violence et d'insécurité. Le verdict de ce référendum à vote obligatoire est sans ambiguïté et dépasse toutes les prédictions des instituts de sondage. Comme elle, quelque 100 000 Chiliens installés à l'étranger étaient appelés à se prononcer, pour eux de manière volontaire. Cette volonté de changement perçue à l'étranger et dans la capitale Santiago, surtout dans la jeunesse qui a envahi les rues, a été balayée par l'immense rejet qu'inspirait le texte "dans le sud et le nord du pays", selon Marta Lagos, sociologue et fondatrice de l'institut de sondage Mori.

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Chili : les cinq points clés pour comprendre le rejet massif de la ... (FRANCE 24)

Les Chiliens ont massivement rejeté, dimanche, la proposition de nouvelle Constitution qui visait à remplacer celle héritée de la dictature d'Augusto ...

"Une partie de la Constitution est très 'millenial' (ceux qui ont atteint leur majorité en 2000 ou après) et ces valeurs ne sont pas celles réclamées par la partie la plus traditionnelle", majoritaire dans le pays, explique la sociologue Marta Lagos. Les conditions économiques ont changé de façon brutale et beaucoup ont pu anticiper différemment les risques" à prendre face à un avenir incertain, ajoute Marcelo Mella. [Quelque 61,9% des électeurs chiliens ont clairement refusé,](https://www.france24.com/fr/amériques/20220905-au-chili-la-proposition-de-nouvelle-constitution-est-massivement-rejetée) dimanche 4 septembre, de remplacer la Constitution en vigueur depuis les années de la dictature [d'Augusto Pinochet](https://www.france24.com/fr/tag/augusto-pinochet/) (1973-1990). Seuls 38 % se déclarent satisfaits, soit le même taux que le vote pour le "oui" de dimanche. Le texte de 388 articles, considéré comme avant-gardiste par plusieurs analystes, contenait des propositions jugées trop radicales pour une large partie de la population. Si de larges avancées sociales formaient le socle du texte proposé, avec de nouveaux droits en matière de santé, d'éducation, de retraite ou d'environnement, les questions de "plurinationalité" avec les peuples indigènes, d'avortement, ou de suppression du Sénat ont suscité des réactions de rejet.

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Nouvelle Constitution rejetée au Chili : "La droite était le moteur du ... (Marianne)

Un revers pour le président de gauche Gabriel Boric qui n'a d'autres choix que de recommencer un processus constitutionnel, comme l'explique Christophe Ventura, ...

Le verdict de ce référendum est sans ambiguïté : dimanche 4 septembre, huit millions de Chiliens (62,38 %) ont voté contre la proposition de nouvelle Constitution. Un verdict attendu par sa finalité, mais non par son ampleur : 62,38 % des Chiliens ont opté pour le bulletin « je rejette ». C’est un « non » franc et définitif pour le projet de changement social au Chili.

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Référendum. Chili : après le rejet de la nouvelle Constitution, Boric ... (Courrier International)

Après l'échec cinglant du projet de nouvelle Constitution lors du référendum du 4 septembre - 62 % de non -, le président chilien doit renoncer aux discours ...

Écouter et contenir les angoisses de ceux qui ont eu peur du projet constitutionnel, car ils le jugeaient risqué. Et aussi contenir l’immense frustration de ceux qui ont voté oui. Lancée en 1950, “La Troisième” est un journal populaire essentiellement lu par la classe moyenne, qui apprécie notamment ses articles d’information générale, ses pages sportives et ses nombreux suppléments. C’est le plus grand rêve – et le pire cauchemar – de ceux qui accèdent aux plus hautes fonctions de leur pays : être au pouvoir pendant un moment historique. Ses éditions du samedi et du dimanche remportent un grand succès. Il faut pour cela enthousiasmer et non se mettre à dos les adversaires, et tenir compte des craintes de ceux qui ont voté non.

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Chili : À quand la révolution féministe, écologique et sociale ? (Mr Mondialisation)

Le dimanche 4 septembre 2022, le projet d'une nouvelle Constitution, progressiste, féministe, écologique et sociale, a été rejeté par 62% des votes.

Un point qui semble prendre le dessus sur un autre droit constitutionnel, celui de « vivre dans un environnement sans pollution », mais ce dernier se heurte à la prééminence du libre marché. Et ce, malgré la « consultation » des citoyen·ne·s en ligne, comme le mentionne une habitante de Til Til, interrogée par Mathilde Allain en juillet 2019 : Ces quelques mots révèlent toute l’inhumanité du système néolibéral, où le système de santé ne sert même plus à soigner, dans un monde où tout est monnayable, y compris (voire en premier lieu) la santé des gens. Celle-ci rapporte les constats de fissures sur les murs de béton censés retenir les résidus toxiques issus de l’exploitation minière, de la possibilité que des métaux lourds s’infiltrent dans les sols et nappes phréatiques utiles à leur production potagère, de la pollution de l’air dû à l’important trafic de trains et camions qui soulèvent beaucoup de poussières et génèrent d’importantes nuisances sonores et odeurs nauséabondes, ou encore des sécheresses et du manque d’eau alors que les industries ne sont pas limitées dans leur usage de l’eau. C’est pourquoi n’importe quelle mesure mise en place à partir de la Constitution actuelle – dont le contenu donne des garanties à l’élite – et sous les structures politiques dominantes ne constitue qu’un analgésique avec de graves contre-indications à court terme », Xenia Fuster-Farfán et Fernando Toro Le retour à la démocratie en 1990 ne signifie pas la fin du projet néolibéral, mais plutôt sa continuité par les gouvernements de la Concertación (coalition des partis du centre et de gauche), de manière « corrigée » voire « avancée ». La privatisation a également touché le secteur de la santé avec la création d’assurances privées (ISAPRES) « offrant une meilleure couverture aux personnes qui ont les moyens de payer davantage » selon X. En effet, iels s’appuient sur le [constat du philosophe Henri Lefebvre](https://www.jssj.org/article/lespace-politique-chez-henri-lefebvre-lideologie-et-lutopie/) pour affirmer que « l’espace est un produit social et politique ; il est le résultat des relations sociales et de pouvoir ». Toro ; par exemple, [4 caisses de retraites contribuent à 50% du Fonds d’Independencia Rentas](http://www.aindependencia.cl/admin/uploads/Memoria_Rentas_2017-35448.pdf), principale société administratrice des fonds immobiliers du Chili ( [ACAFI, 2016](https://www.acafi.cl/ingresos-de-fondos-de-renta-inmobiliaria-llegaron-a-108-mil-millones-en-2017/)). [370 millions d’euros rien que sur l’année 2017](https://www.ciperchile.cl/2018/12/11/afp-radiografia-a-los-347-mil-millones-de-utilidades-netas-que-obtuvieron-en-2017/), des sommes vertigineuses bien évidemment non redistribuées à la population, ne faisant qu’appauvrir les personnes âgées et faisant du Chili « le pays de l’OCDE ayant les retraites les plus basses » : [8 retraités sur 10 perçoivent un montant inférieur au salaire minimum](https://www.bbc.com/mundo/noticias-america-latina-50124583). Enfin, « la sylviculture uniformise les paysages, détruisant les lieux de vie des indien·ne·s Mapuches ». Nous vous proposons un état des lieux du pays, [en nous appuyant notamment sur les travaux de](https://journals.openedition.org/gc/15570) Mathilde Allain, chercheuse en science politique et analyste Amérique du Sud, et des chercheur·se·s en études urbaines, Xenia Fuster-Farfán et Fernando Toro.

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Référendum constitutionnel au Chili : le « non » l'emporte et la droite ... (http://www.revolutionpermanente.fr/Section-Politique)

Avec près de 62% de voix, la vieille Constitution héritée de la dictature reste en place au Chili. Comment expliquer le résultat du référendum de ce ...

Pour Boric, c’est un coup dur et il a répondu à ce désaveu en convoquant l’ensemble des acteurs traditionnels de l’échiquier politique chilien au « dialogue » pour trouver, de concert, « un nouvel itinéraire constitutionnel » qui soit en mesure d’obtenir « une large majorité citoyenne ». Dès le rendu des travaux de la Convention, il y a deux mois, la droite et la gauche néolibérale ont ainsi pu mener campagne très agressive contre les partisans de « l’apruebo » [« je vote pour »], dont les dirigeants étaient volontairement coincés entre un discours de modération et les garanties adressées à l’establishment, au patronat et aux acteurs traditionnels et conservateurs de la société chilienne, leur promettant que le changement, de toute façon, ne serait pas si radical que cela. Mais, dans les faits, tout avait été fait, en coulisses, pour que le Congrès puisse brider et revoir à la baisse toutes ces avancées, et ce avant même le résultat du référendum. Une façon, pour Boric, de se présenter encore une fois sous son profil le plus respectable et modéré. Au fil de ses 170 pages et 388 articles, le projet de nouveau texte constitutionnel, rédigé entre juillet 2021 et juillet 2022, prévoyait, notamment, d’importantes avancées : en termes de parité, dans un pays qui n’a reconnu le divorce qu’en 2004, ou pour ce qui est de l’IVG, alors qu’il est encore refusé aux femmes, sauf cas exceptionnels ; dans le domaine syndical et du droit du travail, dans un Chili où le droit de grève n’est pas garanti par la Constitution ; en ce qui concerne les droits des populations autochtones et de la défense de l’écosystème, le pays étant soumis, historiquement, à une intense prédation de ses matières premières ; en ce qui concerne les droits LGBTIQ et, surtout, l’accès à la santé, l’éducation et au logement. Ils sont le reflet et l’expression de mobilisations sociales, féministes et LGBTI et démocratiques sans précédent au cours des quinze dernières années et dont la « révolte d’octobre 2019 » a constitué le point culminant. Sans rompre avec le système, le texte se situait aux antipodes de la logique du tout-libéral et du désengagement de l’État en vigueur depuis un demi-siècle. Pour Gabriel Boric, le jeune président de 36 ans, ancien leader des mobilisations étudiantes et élu en décembre 2020, sur une liste de gauche radicale et du PC, le désaveu est cinglant. Dans le cadre d’un très fort taux de participation (85%, le vote ayant été déclaré obligatoire), la droite pinochétiste a serré les rangs et la gauche n’a pas réussi à mobiliser son électorat pour faire adopter le projet de texte rédigé par la Convention Constitutionnelle. Comment expliquer le résultat du référendum de ce dimanche, à moins de trois ans de l’énorme mobilisation d’octobre 2019 contre le modèle néolibéral instauré par Pinochet, et alors qu’un gouvernement de gauche est au pouvoir depuis mars dernier ? Ou à un gouvernement se disant de gauche, issu des mouvements sociaux et qui, chemin faisant, a oublié toutes ses promesses, a renoué avec les vieilles méthodes policières, en militarisant le Sud du pays, et en étant plus préoccupé par la stabilité macroéconomique et les affaires de la bourgeoisie ? Même si les derniers sondages donnaient un avantage important pour les partisans du « rechazo » [« je vote contre »], avec une avance de 4 à 12 points, la victoire du « non » est écrasante, avec 62% des voix contre 38% pour le « oui ».

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Chili : après le non au référendum un nouveau processus ... (Le Monde)

Plus de six votants sur dix ont rejeté le texte progressiste proposé par l'assemblée constituante mise en place après les protestations de 2019 contre les ...

Par ailleurs, le manque de compromis de certains élus de gauche et indépendants avec des propositions jugées trop radicales, peu enclins à négocier avec la droite, a notamment été pointé du doigt. « Le texte proposé n’a pas pu dépasser l’image d’une Assemblée constituante, polarisée, ternie par le mensonge et la démission de l’un de ses membres », analyse Cecilia Osorio Gonnet, politiste à l’université du Chili. » (« Vive le Chili !

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Le Chili rejette la Constitution écologique et sociale (Reporterre)

62 % des Chiliens ont voté « Non » à la proposition de nouvelle Constitution écologique, lors du référendum de dimanche 4 septembre. Un échec qui oblige le ...

Pour la politologue de l’université du Chili, Claudia Heiss, qui a suivi tout le processus constitutionnel, « si le “Oui” l’avait emporté, cela aurait été une pierre supplémentaire à l’édifice du projet progressiste entamé depuis la révolte de 2019 ». Il a affirmé avoir reçu le message du peuple qui « n’est pas satisfait de la nouvelle Constitution proposée ». « La Constitution de 1980 [adoptée pendant la dictature de Pinochet] ne nous unit pas, et ne nous représente pas. Pour lui, « ce processus constitutionnel n’apportait qu’insécurité, incertitude et pauvreté » et « le Chili a évité un chemin qui menait la patrie à l’échec ». Il a tout de suite appelé à « construire, avec le Parlement et la société civile, un nouveau chemin pour proposer un nouveau texte constitutionnel » aux Chiliens. « Il n’y a pas eu de consensus dans ce processus constitutionnel, a déclaré à la presse Javier Macaya, porte-parole de la Coalition de Chile Vamos (droite conservatrice).

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Chili : un référendum pour remplacer la Constitution établie sous la ... (Franceinfo)

Dimanche 4 septembre, quinze millions de Chiliens se sont prononcés autour d'un référendum pour remplacer ou non la Constitution chilienne, établie sous la ...

Si le nouveau texte est adopté, il entrerait en vigueur dans une dizaine de jours. Le nouveau texte, élaboré par une Assemblée constituante, propose d'instaurer un État providence. "Au Chili, nous devons résoudre nos différences avec plus de démocratie, jamais avec moins.

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Chili : un grand non à la nouvelle constitution (Paris Match)

Le verdict de ce référendum à vote obligatoire est sans ambiguïté et dépasse toutes les prédictions des instituts de sondage.

Le verdict de ce référendum à vote obligatoire est sans ambiguïté et dépasse toutes les prédictions des instituts de sondage. Mais des voix de centre-gauche se sont également jointes aux protestations. Ces deux régions connaissent de graves problèmes de violence et d'insécurité. Cette volonté de changement perçue à l'étranger et dans la capitale Santiago, surtout dans la jeunesse qui a envahi les rues, a été balayée par l'immense rejet qu'inspirait le texte "dans le sud et le nord du pays", selon Marta Lagos, sociologue et fondatrice de l'institut de sondage Mori. Depuis le palais présidentiel de la Moneda, il a lancé "un appel à toutes les forces politiques pour qu'elles fassent passer le Chili avant toute divergence légitime, et qu'elles se mettent d'accord le plus rapidement possible sur les délais et les contours" de ce nouveau processus "dans lequel, bien sûr, le Parlement devra être le principal protagoniste". "Je m'engage à faire tout ce qui est en mon pouvoir pour construire un nouveau processus constitutionnel", a solennellement déclaré après les résultats le président de gauche de 36 ans élu en décembre.

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Chili : pourquoi le rejet d'une nouvelle Constitution n'est peut-être ... (L'Obs)

En rejetant massivement la loi fondamentale ambitieuse qui devait remplacer celle héritée de la dictature de Pinochet, les Chiliens ont infligé une défaite ...

Rechazo ? Apruebo ? non ? Oui ? [très nettement rejeté,](https://www.nouvelobs.com/amerique/20220905.OBS62761/au-chili-la-nouvelle-constitution-rejetee-par-pres-de-62-des-electeurs-un-echec-pour-la-gauche.html) à près de 62 % des voix, cette loi fondamentale qui devait remplacer celle imposée en 1980 par le dictateur Augusto Pinochet. Est-ce la fin de l’aventure constitutionnelle ?

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Chili: après le «non» à la nouvelle Constitution, les tractations ... (RFI)

Le président de gauche Gabriel Boric a accepté la défaite, mais a appelé « toutes les forces politiques à se mettre d'accord aussi vite que possible sur les ...

La Constituante, en se concentrant sur les droits des minorités, s'est « enfermée dans de multiples niches en oubliant qu'elle devait représenter la majorité », affirme le quotidien conservateur El Mercurio Mais la coalition de droite qui s’était opposée à la nouvelle Constitution, « Chile Vamos », refuse de rencontrer le président pour le moment. « Ample rejet » du projet de Constitution, titre le quotidien conservateur El Mercurio. L’ampleur de la défaite d’hier va pousser le président Boric à modifier son Le président Gabriel Boric a annoncé dimanche soir soir sa volonté de lancer « un nouveau processus constitutionnel ». Cette décision des Chiliens et des chiliennes exige de nos institutions et de nos acteurs politiques que nous fassions davantage d’efforts, que nous travaillions avec plus de dialogue et de respect, pour arriver à une proposition de Constitution qui nous représente tous et qui nous unisse en tant que pays.

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Référendum au Chili, les raisons d'un fiasco (La Croix)

Pendant un an, 154 constituants élus ont travaillé à la rédaction d'une nouvelle Constitution, réclamée par les Chiliens. Dimanche 4 septembre, les ...

[Chili ](https://www.la-croix.com/Monde/Ameriques/Chili)à des inégalités parmi les plus fortes à l’échelle de la planète. La nouvelle Constitution a été accusée de diviser le pays, avec la reconnaissance des peuples autochtones. [président Gabriel Boric](https://www.la-croix.com/Monde/Chili-Gabriel-Boric-lemporte-Jose-Antonio-Kast-devient-jeune-president-2021-12-20-1201191067), élu fin 2021 et porté par le mouvement social de 2019, a aussitôt annoncé sa volonté de relancer « un nouveau processus constitutionnel ». [État plurinational](https://www.la-croix.com/Monde/Chili-droits-peuples-autochtones-coeur-nouvelle-Constitution-2022-03-11-1201204473), alors que la Constitution de 1980 ne fait aucune référence aux onze peuples indigènes, représentant 12,8 % de la population chilienne. « Par exemple, il est question d’un droit à la nature, en rupture avec la politique extractiviste qui a fait la prospérité du Chili, mais qu’en pensent les ouvriers du cuivre ?, s’interroge Olivier Compagnon. Un formidable travail démocratique et sans précédent a été engagé depuis octobre 2020 et le vote, à près de 80 %, en faveur d’une nouvelle Constitution lors d’un référendum.

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