L'hebdomadaire satirique est accusé par un de ses journalistes d'avoir rémunéré pendant une vingtaine ans la femme d'un dessinateur.
Il souligne que le journaliste a fait face à «un dilemme moral», entre se taire pour protéger son employeur et révéler «une information que le Canard aurait sortie si elle touchait une autre structure», ajoute l'avocat. On a donné des explications, j'ai cru comprendre que ces explications n'ont pas satisfait, c'est pour ça qu'il a porté plainte», a-t-il encore dit. C'est aux enquêteurs de déterminer qui a mis en place ce système, qui savait, qui en a profité.» Christophe Nobili ne demande rien et n'a rien à gagner dans une telle affaire, insiste l'avocat. Au contraire il a tout à perdre». Une plainte contre X a été déposée le 10 mai pour abus de biens sociaux et recel d'abus de biens sociaux, s'est fait confirmer Le Figaro. Le journal satirique a notamment bâti sa réputation en révélant les affaires Penelope Fillon en 2017 ou le scandale RPR à la mairie de Paris.
Une enquête a été ouverte par le parquet de Paris pour abus de biens sociaux et recel d'abus de biens sociaux, visant le journal hebdomadaire satirique ...
Le journaliste Christophe Nobili aurait hésité à dénoncer les faits, notamment pour ne pas écorner l’image de son journal. Le journaliste a découvert par hasard qu’une femme dont il n’avait jamais entendu parler, bénéficiait d’une carte de presse domiciliée au « Canard enchaîné », qui emploie une vingtaine de salariés. « La plainte ne vise pas le journal, mais un système qui a été mis en place par deux ou trois personnes, et sur lequel d’autres ont peut-être fermé les yeux », a expliqué au « Monde » l’avocat de Christophe Nobili, Pierre-Olivier Lambert.
Une enquête pour « abus de biens sociaux » et « recel » a été ouverte après la plainte d'un salarié. Ce journaliste a découvert l'existence d'une salariée ...
Une enquête a été ouverte pour « abus de biens sociaux » et « recel d’abus de biens sociaux ». « S’il y a des explications à donner, on les donnera bien évidemment aux policiers et à nos lecteurs. « Il y a eu un rendez-vous entre avocats il y a quatre mois et, depuis, on n’en a jamais entendu parler. Son avocat explique auprès du Monde que risquer de porter atteinte à son entreprise en révélant les faits a constitué un « dilemme terrible ». Le journaliste a également enquêté sur les intérêts du groupe Bolloré en Afrique ou ceux du groupe Bouygues. Christophe Nobili, journaliste de ce média, a mis au jour la potentielle affaire.
[VIDÉO] ▶️ L'hebdomadaire satirique est visé par une plainte contre X pour "abus de bien sociaux" et "recel", déposée par un journaliste de la rédaction.
- 8 "Je n’ai été ni convoqué ni entendu au sujet d’une plainte dont je ne connais ni la date ni l’objet", a déclaré au Monde le directeur général délégué et directeur de la publication, Nicolas Brimo. [sa propre rédaction](/politique/coronavirus-l-elysee-aurait-ete-averti-des-decembre-le-quai-d-orsay-dement-canard-enchaine-2153118.html). La compagne du dessinateur aurait perçu des salaires sans travailler au journal sur une période de 20 ans environ, pour un montant total avoisinant les trois millions d'euros. Il s'agirait de la compagne du dessinateur André Escaro, 94 ans, qui publie dans l'hebdomadaire depuis plus de 60 ans. Christophe Nobili, qui fut l'un des auteurs de l'enquête de l'hebdomadaire sur les emplois fictifs de François Fillon, affirme avoir découvert que la compagne d'un dessinateur du titre avait été rémunérée sans jamais y avoir travaillé.
Un journaliste du titre a porté plainte après avoir découvert que la compagne d'un dessinateur bénéficiait d'une carte de presse, selon France Inter.
Une enquête a été ouverte par les agents de la brigade financière de Paris sur des faits dont on soupçonne qu'ils auraient duré une vingtaine d'années pour un préjudice estimé à 3 millions d'euros. Selon France Inter, la salariée en question se trouve être la compagne d'un dessinateur historique du journal, André Escaro, aujourd'hui âgé de 94 ans. Celui-ci a découvert l'existence d'une journaliste qui lui était inconnue dans l'effectif du journal, pourtant composé d'une vingtaine de salariés, et dont la carte de presse est affiliée au
« C'est pas une plainte contre le journal. Christophe Nobili agit en parfaite cohérence avec ce qu'a toujours été le "Canard enchaîné", contre un système mis en ...
On a donné des explications, j’ai cru comprendre que ces explications n’ont pas satisfait, c’est pour ça qu’il a porté plainte », a-t-il précisé. « Nous avons une enquête préliminaire en cours, confiée à la Brigade financière et ouverte des chefs d’abus de bien sociaux et recel d’abus de bien sociaux », a confirmé le parquet à la suite des informations du Monde et de [Radio France](https://www.francetvinfo.fr/economie/medias/le-canard-enchaine-soupconne-d-emploi-fictif-une-enquete-ouverte-pour-abus-de-biens-sociaux-et-recel_5328718.html). « C’est pas une plainte contre le journal.
Un journaliste de la rédaction a déposé une plainte pour des soupçons d'emploi fictif au sein de la rédaction. La compagne d'un dessinateur y aurait été ...
[modernisation ](https://www.liberation.fr/france/2020/03/25/le-canard-enchaine-demarre-une-nouvelle-vie-en-ligne_1783006/)du journal. «Rapidement, Christophe Nobili comprend que l’inconnue de la rédaction du Canard Enchaîné est la compagne du dessinateur André Escaro, 94 ans aujourd’hui, une signature historique du palmipède depuis 1959», explique encore la radio publique. Une plainte contre X a été déposée en mai dernier pour abus de biens sociaux et recel d’abus de biens sociaux par un journaliste de l’hebdomadaire. La période concernée courrait sur 20 ans et la rémunération indûment perçue s’élèverait à trois millions d’euros. C’est d’ailleurs le même journaliste qui révèle ces deux affaires : Christophe Nobili, qui travaille au Canard depuis une quinzaine d’années. Une femme dont Christophe Nobili a tout lieu de penser qu’elle occupe un emploi fictif.
Une plainte contre X a été déposée le 10 mai pour abus de biens sociaux et recel d'abus de biens sociaux par Christophe Nobili, journaliste pour l'hebdomadaire ...
[plainte](https://www.rtl.fr/sujet/plainte), confirme le parquet de Paris à RTL. Vous recevrez ponctuellement sous forme de notifciation des actualités RTL. Le Canard enchaîné aurait rémunéré pendant près de 20 ans l’épouse de l’un de ses anciens dessinateurs (et membre du conseil d’administration du journal jusqu’au 22 juin dernier) sous couvert d'un emploi fictif.
L'un des journalistes du Canard enchaîné a porté plainte en mai, soupçonnant la compagne du dessinateur André Escaro de bénéficier d'un emploi fictif au ...
André Escaro a-t-il permis à sa compagne d'obtenir un emploi fictif au sein du prestigieux titre de presse ? Dessinateur, André Escaro était également membre du conseil d'administration du Canard depuis les années 1980, et était donc entre autres chargé, à ce titre, de contrôler les comptes de la société. Celle-ci, s'est avérée être la compagne de l'un des noms historiques du journal, André Escaro.