Franck Dubosc réalisateur offre à l'acteur Franck Dubosc un deuxième film dansant sur le fil funambule des sentiments en équilibre, balançant entre la ...
Le film de l'acteur et réalisateur assume sa fantaisie sur un sujet grave, les retrouvailles d'un père et de la fille qu'il avait abandonnée à sa naissance.
Pour tenter avec Rumba la vie un pari plus audacieux, pour ne pas dire plus dangereux : fondre son personnage de foireux congénital dans une trame de mélodrame et tenter de ravir la mise sur le double tableau du rire et des larmes. En tout état de cause, à l’instar de Semoun et de beaucoup d’autres comiques, l’acteur a fini par passer de l’autre côté de la caméra, sans cesser d’y être devant. Les 5 millions de spectateurs du premier (2006), les 4 millions du deuxième (2010) et les 3 millions du troisième (2016), en dépit de la pente déclinante qu’ils suggèrent, sont dispensateurs d’une belle réussite commerciale.
Après le succès en de son premier film "Tous debout" en tant que réalisateur, Franck Dubosc est repassé derrière la caméra pour un nouveau film, ...
C'est un personnage plutôt différent de ceux qu'il nous a habitués à incarner que campe Franck Dubosc dans Rumba la vie : un quinqua un peu misanthrope, installé dans sa routine quotidienne, mais bousculé par un incident cardiaque. Tony, la cinquantaine, chauffeur d’autobus scolaire renfermé sur lui-même, vit seul après avoir abandonné femme et enfant vingt ans plus tôt. Rumba la vie sort aujourd'hui au cinéma, a
Découvrez la critique du film Rumba la Vie de Franck Dubosc - C'est quoi pour vous Franck Dubosc ? Patrick Chirac de Camping, du one-man show pas très ...
Et force est de constater que cette transcription fonctionne, puisque Rumba la Vie embarque dans son univers sans effort et sans lambiner. C'est sans doute le plus étonnant de tous considérant le niveau d'exigence du cinéma populaire français, mais le scénario de Rumba la Vie désamorce les clichés et déjoue les codes. Car oui, il y a de la mise en scène dans Rumba la Vie. Ce sera peut-être d'ailleurs le principal point faible de Rumba la Vie : certes le film fait semblant de vouloir faire rire, quand son objectif est ailleurs. A tel point que Rumba la Vie mérite à peine le qualificatif de comédie. Tel est pris qui croyait prendre dans Rumba la Vie, et la mécanique ultra-typique du mensonge et du quiproquo s'en retrouve densifiée. Bien sûr, la suite est cousue de fil blanc : s'inscrivant incognito dans le cours de sa fille - alors que "la danse c'est pas un truc de mec" -, il va s'ouvrir et se découvrir. Un rôle rustre et replié, loin des compositions exhubérantes habituelles de Franck Dubosc, qui fait ici la démonstration de son amplitude de jeu. Deuxième mérite de Rumba la Vie : Franck Dubosc, scénariste. Souvent, c'est un peu comme attendre prostré dans une tranchée de Verdun que les tirs de blagues à prout et le bombardement de réflexions chaleureusement racisto-sexistes s'arrête. Mais quand on n'a jamais connu l'océan, même la piscine paraît profonde, et pour une fois qu'elle est plus propre que l'habituel égoût idéologique, on va se permettre de s'y ébattre joyeusement. Un second film dont le synopsis avait tout pour se vautrer dans la galéjade bien française et nous crisper les mâchoires jusqu'à s'en faire péter les molaires, malgré les noms de [Jean-Pierre Darroussin](https://www.ecranlarge.com/personnalite/652988-jean-pierre-darroussin) et [Marie-Philomène Nga](https://www.ecranlarge.com/personnalite/809975-marie-philomene-nga) au casting, mais qui se révèle être une réussite.
Tony, la cinquantaine, chauffeur d'autobus scolaire renfermé sur lui-même, vit seul après avoir abandonné femme et enfant vingt ans plus tôt.
Bonne nouvelle : son humour y gagne, profitant de séquences plus étirées et silencieuses, parvenant même, parfois, à rappeler l’humour absurde d’un Tati (on mentionnera l’astucieuse gag de la sonnette dont le bruit se prolonge, retardant l’échange entre deux protagonistes). Critique : Le deuxième long métrage réalisé par Franck Dubosc est assurément calibré pour le succès, surfant sur la vague des films résilients qui polluent depuis de nombreuses années le cinéma français, tous genres confondus. Résumé : Tony, la cinquantaine, chauffeur d’autobus scolaire renfermé sur lui-même, vit seul après avoir abandonné femme et enfant vingt ans plus tôt.
L'humoriste signe sa dernière réalisation, « Rumba la vie », une comédie émouvante et subtile, en salle depuis ce 24 août. Une interview à retrouver en ...
Je ne voulais pas faire le pitre. Je ne voulais pas faire un papa moderne. C’est de la pudeur des darons, en fait. C’est celui qui ne dit pas « je t’aime » mais qui le pense. Je n’osais pas. Si le premier film pouvait passer pour un coup de bol, la réussite du second démontre une vraie ambition.
Franck Dubosc signe un second long métrage attachant, qui joue plus sur l'émotion que sur le rire.
Le mensonge était déjà au cœur de son premier film, Tout le monde debout en 2018, où il campait un faux handicapé. Pour se rapprocher de sa fille, Tony décide, sans lui révéler qui il est, de s’inscrire à son cours de rumba, avec l’aide de sa voisine congolaise (Marie-Philomène Nga)… Son médecin (Michel Houellebecq, toujours aussi savoureux dans un second rôle dont il a le secret) le met en garde : va falloir réduire la cigarette et peut-être dire au revoir à ses proches ; on ne sait jamais ce qui peut arriver.
Ce matin dans Le 8/9, Stan vous présente les trois sorties cinéma de la semaine. Et parmi elles, Stanislas Ide a...
On s’attend à une comédie française pleine de clichés avec un quiproquo sur l’identité du père et des blagues un peu lourde et ce n’est pas du tout le cas. Sa fille est prof de danse et Tony, le protagoniste, va s’inscrire à ses cours de danses et cela donne un film très touchant. Ce matin dans Le 8/9, Stan vous présente les trois sorties cinéma de la semaine.
Si une nouvelle fois l'acteur demeure en tête d'affiche de sa fiction, son rôle de « Tony » s'avère évolutif et lui convient parfaitement bien. A ses côtés, la ...
Malheureusement, « Rumba la vie » manque un peu d’humour. « Rumba la vie » démontre principalement que 2 êtres très éloignés, peuvent se rapprocher au travers d’un intérêt commun. Fragilisé, il réalise que son passé le hante et que le meilleur moyen d’avancer, est d’aller à la rencontre de son ancienne famille et plus précisément de sa fille. En outre, le public s’immerge assez rapidement dans le milieu de la danse, de la rumba plus précisément. En outre, cette séquence ajoute une touche pimentée et quelque peu surprenante. Avec sa seconde réalisation, initialement prévue en décembre 2021, Frank Dubosc semble avoir eu envie de relever un nouveau défi.
A lire sur AlloCiné : Révélée par une série à succès de TF1, Louna Espinosa est depuis mercredi à l'affiche de la comédie "Rumba la vie".
Durant trois saisons, elle se fait remarquer pour sa prestation dans la peau de l'anorexique Roxanne. Une expérience riche d'enseignements pour cette jeune actrice : "Nous sommes très différents et, grâce à lui, j’ai appris que je pouvais me plonger dans un univers étranger au mien sans renier ma personnalité." Après avoir pratiqué de nombreux sports à l'adolescence (dont la natation synchronisée niveau compétition) et étudié le violon au Conservatoire, c'est finalement vers la comédie que Louna Espinosa se dirige quand elle est encore au lycée. "À la lecture du scénario, j’ai tout de suite été touchée par le romantisme de l’histoire. Au début, il n’existe aucune relation entre Tony et sa fille, et c’est assez triste à voir, mais un lien va se nouer grâce à la danse et au chant. [Rumba la vie](/film/fichefilm_gen_cfilm=280743.html) avait été décalée en raison du contexte sanitaire.
Ce 24 août 2022 est sorti en salles le film "Rumba la vie", réalisé par l'humoriste Franck Dubosc et dans lequel ce dernier joue au côté de Louna...
En 2017, elle joue dans la fiction télévisée Le prix de la vérité et l'année suivante dans un épisode de Camping Paradis. En 2020, elle s'est par ailleurs vue proposer un rôle dans le long-métrage Des feux dans la nuit. Dans ce long-métrage, il joue le rôle de Tony, un père de famille qui a abandonné sa fille quand elle était encore bébé et qui souhaite, à 50 ans passés, renouer avec la jeune femme devenue professeur de danse de salon.