L'élue est l'une des principales bêtes noires de Trump depuis qu'elle a osé rejoindre la commission parlementaire enquêtant sur son rôle dans l'assaut du ...
[menaces de mort](https://www.20minutes.fr/dossier/menaces_de_mort) et ne se déplace plus sans escorte policière. Donald Trump, qui flirte ouvertement avec une candidature à la [présidentielle ](https://www.20minutes.fr/monde/election-presidentielle-americaine/)de 2024, dénonce sans cesse les travaux de cette commission, qu’il qualifie de « chasse aux sorcières ». [Républicaine ](https://www.20minutes.fr/monde/republicains/)sans soutenir l’ancien président [Donald Trump](https://www.20minutes.fr/dossier/donald_trump) aux [Etats-Unis](https://www.20minutes.fr/monde/etats-unis/). L’ex-magnat de l’immobilier a immédiatement applaudi la défaite de Liz Cheney : « Elle devrait avoir honte d’elle-même, de la façon dont elle a agi », a-t-il affirmé sur son réseau social, Truth Social. L’élue est l’une des principales bêtes noires du milliardaire républicain depuis qu’elle a osé rejoindre la commission parlementaire enquêtant sur son rôle dans Celle qui s’est engagée à « tout faire » pour que l’ancien président n’accède plus jamais à la [Maison-Blanche](https://www.20minutes.fr/dossier/maison_blanche), a perdu la primaire dans le Wyoming, face à une candidate soutenue par le magnat de l’immobilier.
Malgré le soutien incongru de nombreux démocrates, la républicaine Liz Cheney, meilleure ennemie du président déchu, a été largement défaite mardi en son ...
[destitution (avortée) par la Chambre des représentants](https://www.liberation.fr/international/amerique/impeachment-un-second-proces-et-de-nombreuses-questions-20210209_DDKVS3S3S5DEPC2VNXA5FHKOLY/?redirected=1) après le [soulèvement du 6 janvier 2021.](https://www.liberation.fr/planete/2021/01/06/a-washington-des-trumpistes-forcent-l-entree-du-capitole_1810515/) Depuis, parmi les dix, quatre n’ont même pas tenté de briguer un nouveau mandat lors des élections qui se présentent en novembre. Trois sortants, enfin, avaient déjà été défaits ces dernières semaines par des hommes de l’ancien président, tous investis par ses soins afin d’assouvir sa purge vengeresse. Et de huit.
Porte-voix des républicains anti-Trump, Liz Cheney a essuyé mardi une cuisante défaite lors de sa primaire dans le Wyoming pour un siège à la Chambre des ...
Même avec le soutien de Donald Trump, elle ne recueille que la moitié des voix du Grand Old Party (GOP, le parti républicain)", note le maître de conférences à l'Université Paris-II-Panthéon-Assas, spécialiste des Etats-Unis. Figure du populisme américain, Sarah Palin, 58 ans, brigue l'unique siège de l'Alaska à la Chambre des représentants des Etats-Unis. "Elle devrait avoir honte d'elle-même, de la façon dont elle a agi", a-t-il affirmé sur [son réseau social, Truth Social](//lexpansion.lexpress.fr/high-tech/truth-social-le-nouveau-reseau-social-de-donald-trump-aux-airs-de-deja-vu_2160942.html). Les républicains opposés à Donald Trump n'ont pour la plupart pas le vent en poupe. [Donald Trump](//www.lexpress.fr/actualite/monde/amerique-nord/pourquoi-la-perquisition-de-la-residence-de-trump-par-le-fbi-n-est-pas-si-surprenante_2178296.html) a finalement échappé. Cette défaite avait fait plaisir à Donald Trump, qui s'était dit ravi sur Truth Social que l'élu ait été "viré sans avoir même besoin d'un second tour". Donald Trump n'accumule toutefois pas que les bonnes nouvelles électorales. Ce sont eux que les militants républicains ont désignés pour briguer en novembre prochain, lors des midterms, des sièges de parlementaires mais aussi des postes exécutifs, législatifs ou administratifs dans leur Etat. Tom Rice faisait partie des dix rares élus conservateurs à avoir soutenu avec les démocrates "l'impeachment" de Donald Trump, [l'assaut du Capitole le 6 janvier 2021](//www.lexpress.fr/actualite/monde/amerique-nord/assaut-du-capitole-comment-trump-a-ouvert-les-vannes-au-desordre-et-laisse-faire_2177429.html), Liz Cheney, 56 ans, n'entend toutefois pas baisser les armes. Donald Trump s'était engagé à faire battre Liz Cheney, mettant tout son poids derrière sa rivale Harriet Hageman, auprès de qui il est allé faire campagne fin mai. Des rumeurs prêtent des ambitions pour l'élection présidentielle de 2024 à cette héritière d'une droite très traditionaliste, pro-armes et anti-avortement.
Elle a perdu son pari face à Donald Trump, mais a promis de tout faire pour écarter le milliardaire du Bureau ovale: l'élue américaine Liz Cheney, ...
Un seul autre conservateur, l'élu Adam Kinzinger, pas candidat à sa réélection, avait accepté de siéger dans cette commission. Une candidature, elle aussi, à l'élection présidentielle de 2024? "Mais cela aurait exigé que je soutienne le mensonge du président Trump sur les élections de 2020", a-t-elle affirmé. Cette croisade passera-t-elle par un changement de parti? et pour avoir voté à 70% pour Donald Trump en 2020. "Il y a deux ans, j'ai gagné cette primaire avec 73% des voix.
Ayant perdu la primaire républicaine du Wyoming face à Harriet Hageman, le 16 août 2022, la fille de Dick Cheney incarne la défaite d'une aristocratie ...
« Ceux qui refusent d’accepter les décisions de nos tribunaux sont en guerre contre la Constitution, a martelé Liz Cheney, dans un discours tenu au Congrès le jour de son exclusion du parti républicain, le 12 mai 2021. Les attaques contre notre processus démocratique et l’État de droit donnent du pouvoir à nos adversaires et alimentent la propagande communiste selon laquelle la démocratie américaine est un échec. Après que l’ouverture du mariage a été imposée à l’ensemble des États par la Cour suprême en 2015, et qu’il était devenu inutile de s’y opposer, Liz Cheney changea de discours, et se réconcilia publiquement avec sa sœur en 2021. En tant que parti de Reagan, les républicains ont défendu la démocratie, gagné la guerre froide et vaincu les communistes soviétiques. Liz Cheney est la digne héritière de son père, dont elle a repris la vision des relations internationales, proche du mouvement néoconservateur. Elle est la fille de Richard Bruce Cheney, représentant du Wyoming de 1979 à 1989, chef de cabinet à la Maison-Blanche de 1975 à 1977, secrétaire d’État à la Défense sous George Bush et surtout vice-président des États-Unis de 2001 à 2009. Or, les élites républicaines n’ont jamais accepté la nomination de Donald Trump pour porter leurs couleurs en 2016 ni son élection à la Maison-Blanche. Et que nos ennemis continuent de goûter à la force inéluctable de la liberté. « Il n’y a jamais eu de plus grande trahison par un président des États-Unis de sa fonction et de son serment à la Constitution », commente-t-elle. Depuis, Liz Cheney est devenue la bête noire des partisans de Trump. Cette mère de cinq enfants, numéro 3 du groupe républicain à la Chambre des représentants, paye son opposition résolue à Donald Trump depuis le 6 janvier 2021. Le rodéo de la politique est cruel.
Liz Cheney, opposante à Donald Trump, a perdu son pari dans l'État du Wyoming, lors d'une primaire républicaine.
Cette stratégie semble fonctionner puisqu’au moins trois républicains soutenus par Trump ont perdu leur primaire et quatre d’entre eux se sont tout simplement retirés, pour certains à la suite de menaces de mort. Tous ceux-là sont devenus une cible pour Donald Trump, qui souhaite les éliminer du parti. D’un côté, les candidats républicains qui sont soutenus par l’ancien président, et de l’autre, tous ceux qui ont pu, à un moment donné, critiquer Donald Trump, son action, où même son rôle lors de l’attaque sur le Capitole.
Lors des primaires du Wyoming pour la Chambre des représentants, les électeurs républicains ont préféré une candidate pro-Trump, Harriett Hageman, ...
Cette mission, Artemis 1, est une première étape dans l'ambition des États-Unis de retourner sur la Lune.](https://videos.lesechos.fr/lesechos/videos/qslrx3k) Bush, et influent théoricien des néoconservateurs - toujours prêt à brandir le drapeau américain sur les champs de bataille de la planète pour mâter le terrorisme islamiste -, Liz Cheney s'est fait balayer à la primaire républicaine du Wyoming, chargée de désigner le candidat du parti pour l'élection à la Chambre des représentants. C'est la diplomatie chaotique de l'ancien président qui l'amena à prendre nettement ses distances, et plus encore la fin de son mandat, avec l'insurrection du Capitole du 6 janvier 2021.
Liz Cheney a été battue par la candidate soutenue par Donald Trump lors de la primaire républicaine du Wyoming. Elle a promis de continuer le combat.
Il aurait notamment fait pression sur Colin Powell, secrétaire d'Etat à l'époque, pour qu'il prononce son célèbre discours sur les prétendues «armes de destructions massives» détenues par l'Irak. Auditions de nombreux témoins à l'appui, elle accuse Donald Trump d'avoir «allumé la mèche» de l'attaque du [Capitole](https://www.cnews.fr/capitole), le 6 janvier 2021. Néoconservatrice, Liz Cheney fait partie des «faucons» qui prônent une politique américaine interventionniste à l'étranger. Mais cela aurait exigé que je soutienne le mensonge du président Trump sur les élections de 2020», a déclaré l'élue après sa défaite, ajoutant qu'elle ferait «tout ce qu'il faut pour que Donald Trump ne s'approche plus jamais du Bureau ovale». Représentante du Wisconsin au Congrès américain, Liz Cheney est l'une des rares élues républicaines à s'opposer à Donald Trump, qui conserve une main de fer sur le «Grand Old Party». L'année suivante, elle est élue à la chambre des représentants pour le très conservateur Etat du Wyoming.
Elle a perdu son pari face à Donald Trump, mais a promis de tout faire pour écarter le milliardaire du Bureau ovale: l?élue américaine Liz Cheney, ...
Un seul autre conservateur, l'élu Adam Kinzinger, pas candidat à sa réélection, avait accepté de siéger dans cette commission. Une candidature, elle aussi, à l'élection présidentielle de 2024? "Mais cela aurait exigé que je soutienne le mensonge du président Trump sur les élections de 2020", a-t-elle affirmé. Cette croisade passera-t-elle par un changement de parti? et pour avoir voté à 70% pour Donald Trump en 2020. "Il y a deux ans, j'ai gagné cette primaire avec 73% des voix.
L'élue républicaine du Wyoming a perdu une primaire face à sa rivale Harriet Hageman, une fidèle de l'ancien président américain.
Depuis trois mois, tous les sondages indiquaient une désaffection grandissante des électeurs conservateurs à son égard, lui reprochant sa trop grande implication dans l'enquête parlementaire démocrate sur le 6 janvier 2021 et son éloignement du Wyoming. [Congrès](https://www.lefigaro.fr/flash-actu/le-congres-americain-vote-pour-l-interdiction-des-fusils-d-assaut-20220730) qui soutinrent la procédure de destitution parlementaire de Donald Trump après l'assaut contre le Capitole le 6 janvier 2021, huit ont été battus dans les urnes ou ont choisi de prendre leur retraite politique. Mardi, la plus visible des « antitrumpistes », Liz Cheney, a été sèchement battue dans son État du Wyoming, où elle briguait un troisième mandat à la Chambre des représentants.
Figure de proue des républicains anti-Trump, l'élue à la chambre des Représentants a été écrasée lors des primaires dans son État du Wyoming.
Liz Cheney, la « meilleure ennemie » républicaine de Donald Trump, a subi une lourde défaite dans la primaire du Wyoming qui devait désigner la candidate ...
La parlementaire de 56 ans est l'une des principales opposantes du milliardaire dans le camp républicain. «Maintenant, elle peut enfin tomber dans les oubliettes de la politique », s’est réjoui l’ancien locataire de la Maison Blanche. Liz Cheney, la « meilleure ennemie » républicaine de Donald Trump, a subi une lourde défaite dans la primaire du Wyoming qui devait désigner la candidate des républicains à la Chambre des représentants.
L'investiture républicaine dans l'élection pour la Chambre des représentants a échappé à l'élue sortante Liz Cheney. Cette héritière d'une dynastie ...
Il a même suggéré une sécession du Wyoming, face à la « dictature » de Washington, et fait exclure Liz Cheney des rangs du parti. Mieux vaut pourtant faire attention à ses prises de position dans ce coin de l’Ouest, malgré les tapes viriles sur le dos et l’hospitalité bourrue des cow-boys. Les sondages donnaient Liz Cheney battue haut la main par sa rivale Harriet Hageman dans la primaire républicaine du Wyoming, mais l’espoir d’un « réveil » électoral l’animait encore. Mais la marche était bien trop haute pour Amy Womack et les militants bénévoles pro-Cheney de Casper. Dans cette ville des grandes plaines, poumon économique du « Cowboy State » où convergent les trains de minerai, les camions-citernes et les éleveurs de chevaux, avec ses 58 000 âmes, la moindre voix comptait pour espérer inverser le sort du scrutin. L’investiture républicaine dans l’élection pour la Chambre des représentants a échappé à l’élue sortante Liz Cheney.
Elle a perdu son pari face à Donald Trump, mais a promis de tout faire pour écarter le milliardaire du Bureau ovale : l'élue américaine Liz Cheney a pris ...
Une candidature, elle aussi, à l’élection présidentielle de 2024 ? Bush, puis vice-président de George W. Cette croisade passera-t-elle par un changement de parti ? et pour avoir voté à 70 % pour Donald Trump en 2020. « C’était une voie que je ne pouvais et ne voulais pas emprunter. « Il y a deux ans, j’ai gagné cette primaire avec 73 % des voix.
La sévère défaite subie mardi par l'ultraconservatrice Liz Cheney face à une candidate trumpiste lors d'une primaire dans le Wyoming, le prouve: l'époque d'un ...
Qu’elles soient écrites par des membres de sa rédaction s’exprimant en leur nom propre ou par des personnes extérieures, ces opinions reflètent le point de vue de leurs autrices et auteurs. Le Temps publie des chroniques et des tribunes – ces dernières sont proposées à des personnalités ou sollicitées par elles. Le GOP peut-il revenir à la raison? Cela ne veut pas dire que le Parti démocrate n’a pas sa part de responsabilité. L’élue du Wyoming, qui a voté dans 93% des cas pour les positions de Trump, estime que l’attaque du Capitole ainsi que le «grand mensonge» au sujet de l’élection volée de Joe Biden en 2020 sont une ligne rouge. Ils acceptent de facto une politique de la terre brûlée qui mine la société états-unienne.
Les deux Républicains s'opposent frontalement depuis plusieurs mois, Liz Cheney, fille de l'ancien vice-président faisant figure de tête de gondole de la ...
« Cheney est devenue la championne des Démocrates du fait de son opposition à Trump et de son rôle dans la commission d’enquête du 6 janvier, décrypte Marie-Christine Bonzom. « Ce soir, je dis ceci à mes collègues républicains qui défendent l'indéfendable : le jour viendra où Donald Trump partira, mais votre déshonneur subsistera », tonnait-elle alors, estimant que la « défense de la Constitution américaine » méritait de mettre en péril sa carrière politique. Dans son appel à manifester contre la certification de l'élection présidentielle le 6 janvier 2021 Donald Trump vise nommément la représentante du Wyoming : « Nous devons nous débarrasser des membres du Congrès qui sont faibles, de ceux qui ne sont pas bons… » Dans la foulée, elle fait partie des 10 Républicains à voter la destitution de Trump. Lui et Cheney sont dorénavant affublés par leurs collègues du surnom très péjoratif de « RINOs » – « Républicains de nom seulement ». Mais cette idylle sera mise à l'épreuve par la pandémie de Covid-19 et les déclarations hasardeuses du président, lequel suggère notamment d'injecter de l'eau de javel dans le corps des malades. Mais aussi de perdre sa place de numéro trois du groupe républicain à la Chambre, peu avant qu'elle ne rejoigne la commission d'enquête parlementaire. Durant tout le mandat de Trump, Liz Cheney se distinguera sur ce point dans ses votes à la Chambre, mais cette divergence de vues est alors la seule qui oppose les deux Républicains. Poste qu'elle prend très à cœur, la Républicaine comme le reste de la commission, accusant l'ancien président d'avoir « failli à son devoir ». Donald Trump, qui flirte ouvertement avec l'éventualité d'une candidature à la présidentielle de 2024, dénonce sans cesse les travaux de cette commission, qu'il qualifie de « chasse aux sorcières ». Son ennemie jurée parmi les Républicains de l'« establishment », Liz Cheney, a été battue par la candidate trumpiste Harriet Hageman aux primaires des « midterms election » dans le Wyoming. Conséquence : la fille de l'ancien vice-président des États-Unis Dick Cheney, elle-même élue sortante de cet État très conservateur, ne pourra en théorie pas se présenter aux élections de la Chambre des représentants qui se dérouleront le 8 novembre.
Représentante du Wyoming à la Chambre des représentants des États-Unis, élue pour la première fois en même temps que Donald Trump, la républicaine ...
Kennedy, a consacré en 1956 un livre à l’histoire de huit courageux sénateurs qui avaient fait cavalier seul pour défendre la décence et la paix dans un pays déchiré. La bataille qu’elle incarne désormais et qui pourrait la mener jusqu’à présenter sa candidature à l’élection présidentielle de 2024. Tout a basculé quand le 45e locataire de la Maison-Blanche a commencé à crier à droite et à gauche que l’élection présidentielle de 2020 lui avait été volée. Avec neuf autres républicains, elle a voté pour sa destitution lors d’une deuxième procédure, cette fois pour incitation à l’insurrection. Pour ne pas brasser la cage, elle a même avalé de grosses couleuvres. Liz Cheney, une dissidente prête à sacrifier sa carrière et mettre en jeu sa vie pour défendre ses principes, pour protéger la démocratie américaine contre Donald Trump ?
Liz Cheney a perdu, ce mardi 16 août, les primaires du Parti républicain dans le Wyoming, en faveur d'une candidate pro-Trump.
Parce que ce qui se profile, c'est une victoire des républicains à la Chambre des représentants lors des élections de mi-mandat. Ce qui va en revanche avoir un impact sur la commission, c'est la victoire probable des républicains à la Chambre en novembre. Mais elle ne sera donc plus membre de la Chambre à partir de janvier prochain. Liz Cheney a d'ores et déjà prévenu qu'elle comptait continuer son combat pour empêcher Donald Trump de revenir à la Maison Blanche. Mais elle confirme que tous les républicains anti-Trump sont désormais soit poussés dehors par le parti lui-même et ne se représentent pas, soit poussés dehors lors des élections, et notamment durant les primaires. Par conséquent, la défaite de Liz Cheney ne présage pas forcément d'une mise au pas totale de l'électorat républicain.
Washington - La récente défaite de la républicaine Liz Cheney face à une pro-Trump dans le Wyoming expose au grand jour les bouleversements d'un parti ...
"Un parti qui a, à l'inverse, soutenu pleinement Donald Trump et son culte de la personnalité, détourne le regard". "Ca lui irait bien et elle touchera davantage d'électeurs qui écoutent vraiment". Mais, pour beaucoup, cette voie est effrayante", analyse-t-il auprès de l'AFP. "Malheureusement, les principes républicains semblent perdus", écrivait alors dans une tribune Sean O'Keefe, ministre sous George Bush père. Mais son péché est d'avoir depuis critiqué ouvertement le milliardaire au sein d'un mouvement politique qui semble de moins en moins ouvert à la dissidence. De nombreux présidents républicains, de Ronald Reagan à George W.
La récente défaite de la républicaine Liz Cheney face à une pro-Trump dans le Wyoming expose au grand jour les bouleversements d'un parti républica...
"Un parti qui a, à l'inverse, soutenu pleinement Donald Trump et son culte de la personnalité, détourne le regard". "Ca lui irait bien et elle touchera davantage d'électeurs qui écoutent vraiment". Mais, pour beaucoup, cette voie est effrayante", analyse-t-il auprès de l' Mais son péché est d'avoir depuis critiqué ouvertement le milliardaire au sein d'un mouvement politique qui semble de moins en moins ouvert à la dissidence. "Malheureusement, les principes républicains semblent perdus", écrivait alors dans une tribune Sean O'Keefe, ministre sous George Bush père. [Ronald Reagan](/tags/ronald-reagan) à George W.
Principale opposante à l'ex-président Donald Trump au sein du Parti républicain, la députée Liz Cheney a perdu la primaire dans l'Etat du Wyoming.
«L'écrasante défaite essuyée par la représentante Liz Cheney témoigne de l'influence considérable que le leader populiste exerce aussi bien au sein de son parti que sur la société. [perquisition]du FBI dans la propriété de Trump pourrait marquer un tournant. Sa rivale, la pro-Trump Harriet Hageman, s'est imposée avec un large écart et sera la candidate républicaine aux élections de mi-mandat.