But ! Football Club vous fait aussi un résumé de ce qu'il s'est passé aujourd'hui dans l'autre partie – moins médiatique – de la France du foot.
Selon L'Yonne Républicaine, il pourrait s'agir du buteur brésilien de Goias Pedro Raul (25 ans), actuellement prêté au sein du club japonais de Kashiwa Reysol. Le transfert est évalué à 1 M€. Armand Laurienté, c’est un secret de polichinelle de savoir que des clubs s’intéressent à lui, notamment en Italie, des discussions existent mais il n’y a pas d’accord aujourd’hui ». Laissé libre par le RCSA qui n'a pas prolongé son contrat, l'ancien capitaine de la réserve Julien Lomboto (milieu, 20 ans) va continuer sa carrière en D1 portugaise. Si le dossier paraissait impossible à démêler d'un point de vue économique (3 M€ par an de salaire au Portugal), il semblerait que le Stade Brestois s'en soit finalement sorti. S'il est passé proche d'un départ à Hoffenheim, Alexander Djiku est toujours strasbourgeois. Pour l'instant, je n'ai rien qui me convient.
Le Groupe Elite de Damien Perrinelle poursuit sa préparation estivale, et affrontait vendredi soir la Sampdoria Gênes au sein du Centre de performance.
Par rapport à notre volonté de faire découvrir plusieurs types de football à nos joueurs, c’est bien de s’être mesuré à une équipe italienne, avec des fondamentaux différents de ceux auxquels on a l’habitude de se confronter en France. On a effectué une très bonne première mi-temps, alignée avec notre volonté d’avoir un style agressif, de jouer vers l’avant et d’effectuer un pressing constant. « C’était une très belle opposition, face à un adversaire de qualité, a analysé Damien Perrinelle à l’issue de la rencontre. Même si on peut regretter les deux buts encaissés, on retient le positif et on monte en puissance.
Arrivé en août 2021 au Napoli, André-Frank Zambo Anguissa (26 ans) sort d'une saison relativement pleine avec la formation italienne. Auteur de d (.
LES LIEUX DE POUVOIR - Durant six semaines, nous vous invitons à explorer les endroits imprévus ou secrets que fréquentent les stars et les décideurs.
« Vous pouvez être magnifique à 30 ans, charmant à 40 ans et irrésistible pour le reste de votre vie » : cette phrase de Coco Chanel pourrait briller au frontispice du Beach. Celle-ci également que fait mentir la longévité du joyau de la Côte d’Azur et que Francis Scott Fitzgerald place dans la bouche de Daisy Buchanan, la femme qu’aime éperdument Gatsby : « Ce qui brille, tout ce qui est précieux ternit si vite pour ne plus jamais revenir. Autre grand habitué, Karl Lagerfeld. Dans les années 1990, il séjourne régulièrement à la villa La Vigie, demeure de 600 mètres carrés construite en 1902 par un aristocrate anglais et qui surplombe la Méditerranée. « Chaque jour où il était là, il descendait en voisin prendre un bain de mer ou de piscine ; il soignait son corps et tenait à ce que cela se sache », s’amuse René Croési. On ne compte plus les séances photo que le Kaiser de la mode a organisées ici. Par mimétisme avec la famille régnante, la bourgeoisie monégasque et quelques résidents de longue date les habitués font du Beach leur résidence secondaire autant qu’un lieu de passage obligé en Principauté. Au même titre que le Yacht Club, l’Automobile Club ou le Country Club. Le printemps venu, la piscine du Beach offre également la plus belle concentration de sportifs au mètre carré. En avril, le Rolex Monte-Carlo Master, crée en 1897, rassemble la fine fleur du tennis mondial, qui ne déteste pas barboter dans l’eau en fin de journée. Stanislas Wawrinka, Novak Djokovic – tous deux résidents monégasques – ou Roger Federer, habitué depuis 20 ans, comme avant eux Björn Borg et Guillermo Vilas, sont désormais imités par leurs cadets. Des mannequins, la princesse Caroline de Hanovre, lui-même ou quelques célébrités de toutes nationalités ont profité de la vue époustouflante donnant sur la baie de Roquebrune, la frontière italienne ou la Principauté ainsi que des jardins bien rangés de cette maison qui est restée l’une des adresses les plus prisées par les marques de luxe pour organiser séances photo et événements. Pour rendre hommage à Karl Lagerfeld disparu en février 2019, Chanel a présenté le 5 mai dernier sa collection croisière 2022-2023. Elle meurt l’année suivante et repose désormais au cimetière de Monaco. Dans les années 1980, Helmut Newton, le plus grand photographe de mode de l’après-guerre, élit domicile à la Principauté. Il comprend que la Côte d’Azur est le plus beau studio photo du monde. « Quand j’ai rencontré Helmut Newton, il nageait dans cette piscine ; et j’ai vu Caroline pour la première fois sur la plage, à Monaco, habillée d’une robe noire drapée avec des collants très fins et des talons hauts », se souvient‑elle pour expliquer que sa relation charnelle avec ces lieux dépasse le simple souvenir de l’ancien directeur artistique de la maison. Évidemment, depuis un siècle le Beach est aussi très fréquenté par la famille Grimaldi. Les jeunes mariés Grace et Rainier y recevaient les artistes du monde entier qu’ils conviaient. La jet-set et les artistes du monde entier ne dédaignaient pas se délasser dans ce petit coin de paradis sous les yeux ébahis du jeune Croési. « Adolescent et jeune adulte, je me souviens d’avoir régulièrement croisé Florence Gould, qui venait de sa villa cannoise, Coco Chanel, la Bégum, Leonard Bernstein, Serge Lifar ou Jean Cocteau », confie-t‑il. Les Ballets de Monte-Carlo ont accueilli les danseurs et chorégraphes qui ont fait la gloire des ballets russes. Autre visiteur assidu de Monaco, le duc de Windsor, « l’homme le plus élégant d’Angleterre ». Il vient pour la première fois à l’automne 1925 et fera la rencontre d’une Coco Chanel transportée de bonheur et de fierté qui chantera sans retenue ses louanges. Le tourisme vit sa première révolution. Femmes et hommes découvrent les plaisirs des bains de soleil, Coco Chanel raccourcit les jupes, la compagnie des chemins de fer Paris-Lyon-Méditerranée (PLM) met la Côte d’Azur à une journée de Paris, et le Train bleu Calais-Méditerranée-Express est au faîte de son succès. Tandis que Russes et Anglais fortunés se font construire de splendides villas les pieds dans l’eau, Monaco ne veut pas laisser le premier rôle à Nice, Menton ou Cannes. La Principauté, déjà dotée d’un casino de réputation mondiale, fait venir et rester plusieurs jours les joueurs, leurs amis et leur famille. L’ancien Premier ministre du Royaume-Uni réside dans une suite de plus de 250 mètres carrés au dernier étage de l’hôtel de Paris, presque toujours offerte par Onassis, ou dans une villa à Roquebrune-Cap-Martin. Il reçoit le gotha du monde entier pressé de discuter avec l’homme le plus illustre de son temps ainsi que quelques ambitieux députés anglais qui souhaitent recueillir ses conseils ou ses encouragements. Quand dans les années 1920 la Société des bains de mer (SBM) de Monaco souhaite développer les villégiatures estivales, elle se rapproche de la « commère de Hollywood », comme on la surnommait alors.