Mercredi 3 août, quatre explosions se sont produites dans le bâtiment de l'usine Eurenco, site classé Seveso, à Bergerac (Dordogne).
« Les agents de l’Office central de lutte contre les atteintes à l’environnement et à la santé publique (Oclaesp), qui dépend de la police judiciaire, sont sur place, a-t-il longuement détaillé. Comme ceux du Bureau d’enquêtes et d’analyse sur les risques accidentels […] missionnés par Christophe Béchu, ministre de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires. Un petit bâtiment en dur, derrière, a lui aussi été soufflé, confie Jonathan Prioleaud, le maire de Bergerac (DVD), auprès du quotidien régional. J’ai aussi eu un salarié, pompier volontaire, au téléphone, il voyait des débris qui volaient. Il y a des débris de briques et de toit un peu partout.
Huit personnes ont été blessées, dont une plus gravement, après une explosion à Bergerac ce mercredi sur le site Eurenco. Un feu s'est également déclaré ...
Un site "Seveso" est un site industriel représentant des risques d'incident majeur, en fonction de la quantité et des types de produits dangereux qu'il accueille. C'est le bâtiment 75 qui a été touché dont l'arrière a été totalement soufflé. La toiture est trouée. "La nitrocellulose contenue dans un atelier s’est enflammée lors d’opérations de maintenance" précisait le groupe Eurenco dans un communiqué ce mercredi soir. Trois heures après l’explosion, environ 80 salariés et employés des sous-traitants étaient toujours rassemblés à la sortie du site entourés de secours selon un de nos reporters sur place. Selon le parquet de Bergerac, une enquête est ouverte pour blessures involontaires dans le cadre du travail. Une personne était en état d'urgence absolue ce mercredi soir après une explosion en début d'après-midi vers 14h à l'usine Manuco sur le site d'Eurenco de Bergerac. Elle a été héliportée au CHU de Bordeaux. Sept autres personnes ont été légèrement blessées selon le sous-préfet Jean-Charles Jobart. Un incendie s'est également déclaré après l'explosion boulevard Garraud, mais il est désormais maîtrisé et était en passe d'être éteint ce mercredi soir. Elle apporte son soutien aux blessées mais l'élue NUPES qualifie également l'incident de "catastrophe industrielle" et la députée affirme qu'elle restera attentive aux résultats de l'enquête. Cette usine, connue sous le nom de "poudrerie de Bergerac" par les habitants de la ville, est classée Seveso seuil haut. "Est-ce que la chaleur a compliqué le travail de ceux qui étaient à l'intérieur ?" se demandait également le maire de Bergerac sur France Bleu Périgord. "C'est très difficile de savoir quelles sont les causes, cela sera déterminé par l'enquête interne et par les autorités" tempérait de son côté aussi le PDG d'Eurenco ce mercredi qui pensait "probable qu'un incendie ait provoqué les explosions". Thierry Francou assurait aussi qu'il n'y avait pas eu "de rejet" dans la Dordogne. Elle existe depuis 2013 et elle a été rachetée par Eurenco en 2021. Manuco emploie environ 80 personnes. - "Il n'y a pas de danger pour le voisinage" assurait le sous-préfet de Bergerac, "pas de rejet" dans la rivière Dordogne précisait également l'entreprise Il n'y a pas de risque de propagation et "il n'y a pas de danger pour le voisinage" assurait également le sous-préfet de Bergerac. Une enquête est ouverte par le parquet.
"Plusieurs explosions ont eu lieu en début d'après-midi sur le site de la poudrerie d'Eurenco", une usine située à l'est de Bergerac et classée "Seveso seuil ...
"Avec Christophe Béchu (le ministre de la Transition écologique), nous suivons la situation de près", a ajouté Gérald Darmanin. Avec— Gérald DARMANIN (@GDarmanin) @ChristopheBechu, nous suivons la situation de près. https://t.co/QeQaYgGI1p August 3, 2022 L'ensemble du boulevard qui mène au site, situé à moins quatre kilomètres du centre-ville de Bergerac, était bouclé par les forces de l'ordre et interdit à la circulation. Aucune fumée n'était visible aux abords du site, entièrement vidé de ses salariés, dont les grilles étaient entièrement ouvertes pour permettre le passage des véhicules des secours. Des employés, non blessés et regroupés sur le parvis d'un bâtiment, avaient été pris en charge par la Croix-rouge avant de quitter les lieux. Selon le maire DVD de Bergerac Jonathan Prioleaud joint par l'AFP, les explosions ont retenti dans un bâtiment de l'entreprise Manuco (groupe Eurenco), qui produit de la nitrocellulose pour munitions.
Mercredi 3 août, un peu avant 14 heures, un hangar du site de l'entreprise Eurenco a explosé, faisant huit blessés, dont un grièvement.
Car pendant ce temps, les camions de pompiers défilent sur le boulevard Charles-Garraud, complètement désert. De Bergerac, Mussidan, Lalinde, et même de Gironde, une soixantaine de soldats du feu accourent. Dès 14 h 40, un premier hélicoptère atterrit sur le terrain de foot près du gymnase Aragon, à 200 mètres du site. Alors certains, dans ce périmètre un peu plus large, s’attendent à être également évacués : « On pense que l’on va nous demander de partir, on va voir », s’aventure une employée d’Engie, inquiète. Mais cette consigne ne viendra pas. Elle a garé sa voiture sur le bas-côté, warnings allumés, pendant que les caravanes se succèdent à la sortie du camp, en direction de la N21. En quelques dizaines de minutes, l’espace des Gilets s’est presque entièrement vidé. » Mercredi 3 août, en début d’après-midi, tandis que les alarmes du site d’Eurenco, installé à la poudrerie de Bergerac (Dordogne), retentissent au loin, un groupe de réfugiées logées dans une maison à quelques centaines de mètres de là, quitte les lieux. Dans le coin, la poudrerie, installée sur ce site depuis des lustres, est très connue.
Les explosions ont eu lieu dans un bâtiment de l'entreprise Manuco, qui produit de la nitrocellulose pour munitions, dans lequel se trouvaient une ...
Peu avant 19 heures, la préfecture a annoncé que toutes les déviations de circulation avaient été levées. Selon le sous-préfet, l’incident a eu lieu dans un bâtiment qui contenait « moins de 2 tonnes de nitrocellulose ». Huit personnes ont été blessées, dont une grièvement. Trente-six personnes auraient également été incommodées par les fumées générées par l’incendie. Tous les blessés ont été évacués vers des hôpitaux de la région. Peu après 17 heures, le maire de la ville, Jonathan Prioleaud, a annoncé sur BFM-TV que le site était « totalement sécurisé » et que le risque de nouvel incident était « écarté ».
Celles-ci sont survenues sur le site classé Seveso "seuil haut" de l'usine Manuco de la société Eurenco, fabricant de poudre à explosifs pour l'armement. Un ...
Dans un communiqué, le préfet indique que "les fumées dégagées par l'incendie ne présentent pas de dangerosité particulière pour la santé humaine, animale et l'environnement". Le site de l'usine concernée est classé Seveso "seuil haut" pour le risque incendie et toxique. En outre, entre 20 et 30 personnes ont été impactées par l'effet de l'explosion, souffrant notamment d'acouphènes ou sous le choc.
Les déflagrations, dont l'origine est indéterminée, ont fait au moins huit blessés et provoqué un incendie, vite maîtrisé par les pompiers.
Selon le sous-préfet, les explosions ont eu lieu dans un bâtiment qui contenait « moins de deux tonnes de nitrocellulose ». Une quarantaine de personnes étaient présentes sur place. « À ce stade, l’incident n’a pas d’impact à l’extérieur du site », a indiqué la préfecture dans un communiqué. Jean-Charles Jobart, sous-préfet de Bergerac, a indiqué qu’il allait falloir « une enquête administrative pour pouvoir déterminer les causes de cet incident ». « La situation est désormais sous contrôle », a indiqué le sous-préfet Jean-Charles Jobard vers 17h20. « Nous avons entendu deux coups sourds, dont un qui fait vibrer les fenêtres », a indiqué au Parisien Manon, 28 ans, habitant juste à côté de l’usine après l’incident. Le site abrite de la nitrocellulose « pour des raisons à la fois militaires et civiles », pour « de l’explosif dans l’armement » comme pour « des airbags de voiture », explique le maire de la commune. Sur place, encore sonné, Enzo Granger, 28 ans, chaudronnier pour un sous-traitant, a raconté à l’AFP avoir entendu « entre six et sept explosions ». Et c’est au bout de la troisième qu’il s’est « mis à courir », en voyant des « morceaux de briques partir dans tous les sens, des bouts de fer, des fenêtres ».
Une explosion a retenti à Bergerac ce mercredi 3 août sur un site classé Seveso. Selon la mairie de la ville, il y a au moins huit blessés dont quatre ...
Un incendie s’était déjà déclaré sur le site en février 2020, un salarié avait été légèrement blessé, précise France Bleu Bergerac. Selon le sous-préfet Jean-Charles Jobard, l’explosion a eu lieu dans un bâtiment qui contenait «moins de deux tonnes de nitrocellulose». Une quarantaine de personnes étaient présentes sur place. «Il se peut, mais c’est de l’hypothèse, que les canicules actuelles ont pu échauffer les particules de nitrocellulose et faciliter l’inflammation, ajoute le sous-préfet. Mais pour le moment, ce n’est qu’une hypothèse personnelle que je vous donne.
Plusieurs personnes ont été blessées dans une explosion survenue sur un site classé Seveso seuil haut en Dordogne. Les secours sont sur place.
L'entreprise Manuco a été rachetée en 2021 par Eurenco, leader européen dans le domaine des poudres et des explosifs, selon leur site Internet. À l'Assemblée nationale, le gouvernement a fait part mercredi de sa « solidarité avec les victimes et leurs proches », par la voix du ministre délégué à l'Industrie, Roland Lescure. Des employés, non blessés et regroupés sur le parvis d'un bâtiment, avaient été pris en charge par la Croix-Rouge avant de quitter les lieux. Selon le maire DVD de Bergerac, Jonathan Prioleaud, joint par l'AFP, les explosions ont retenti dans un bâtiment de l'entreprise Manuco (groupe Eurenco), qui produit de la nitrocellulose pour munitions. Le départ de feu a eu lieu dans l'usine Manuco, qui emploie 80 personnes. La « nitrocellulose contenue dans un atelier s'est enflammée lors d'opérations de maintenance », a indiqué dans un communiqué le groupe Eurenco, leader européen dans le domaine des poudres et explosifs, ajoutant que « la cause de l'accident est pour l'instant non déterminée ». « Plusieurs explosions ont eu lieu en début d'après-midi sur le site de la poudrerie d'Eurenco », une usine située à l'est de Bergerac et classée « Seveso seuil haut », a indiqué la préfecture de la Dordogne dans un communiqué. Les explosions, dont l'origine est indéterminée en fin d'après-midi, se sont produites dans « un des bâtiments de stockage, ce qui a provoqué un incendie ». Les autorités de la ville située en Dordogne demandent aux riverains d'éviter le secteur car le site est classé Seveso seuil haut à cause du « risque incendie et toxique », du « stockage » et de la « manipulation de produits explosifs et d'acides ». Les secours ont été envoyés sur place.
Une explosion a eu lieu dans une usine à Bergerac, en Dordogne, mercredi 3 août. Heureusement, l'activité était au ralenti, ce qui a permis d'éviter une ...
L’incendie qui a découlé de l’explosion a été circonscrit. Une enquête a été ouverte. Il a été touché aux membres inférieurs et héliporté vers le CHU de Bordeaux (Gironde)", poursuit le journaliste.
Des explosions ont fait au moins huit blessés, dont un grave, à Bergerac (Dordogne) ce mercredi 3 août 2022, dans une poudrerie. L'usine est classée Seveso, ...
Le site de La Poudrerie, à Bergerac (Dordogne), n'avait pas connu pareil accident industriel depuis le 3 octobre 1980, journée noire au cours de laquelle ...
Par mesure de sécurité, la circulation a été coupée et un périmètre de sécurité de trois kilomètres a été déployé autour du site industriel à l’entrée Est de la ville. Mercredi 3 août, peu avant 14 heures, quatre explosions ont soufflé un hangar de stockage de nitrocellulose de l’entreprise privée Eurenco, descendante directe de feu la Société nationale des poudres et explosifs (SNPE) définitivement privatisée en 2004. En se désagrégeant, le bâtiment d’Eurenco (ex-Manuco) a blessé huit personnes, dont une grièvement aux jambes et au bas-ventre qui a été héliportée par le SMUR au CHU Pellegrin, à Bordeaux. Les sept victimes en urgence relative ont été acheminées par les secours vers le centre hospitalier de Bergerac, qui avait enclenché son plan blanc en début d’après-midi.
Plusieurs explosions ont eu lieu ce mercredi 3 août sur le site de la poudrerie d'Eurenco à Bergerac, en Dordogne. Un événement distinc de l'incendie sur un ...
Deux catégories existent : "seuil haut" et "seuil bas". Lorsqu'un site est classé Seveso, il doit y être maintenu un haut niveau de prévention. Les Services de secours sont sur place, merci d'éviter le secteur. Sur son compte Twitter, le préfet de Dordogne s'était exprimé sur le sujet. L'incendie est désormais maîtrisé, annonce le sous-préfet qui se veut rassurant. C'est le bâtiment 75 qui a été touché dont l'arrière a été totalement soufflé. Le site a été totalement évacué après l'accident.
Une explosion mercredi dans une usine classée Seveso seuil haut de Bergerac (Dordogne) a blessé huit employés de l'usine ont été blessés, dont un gravement ...
La police scientifique est sur place, il faut laisser faire le temps de l'enquête et pour le moment on ne connaît pas les causes. La police de l'environnement est venue très rapidement sur place et d'après elle il n'y a pas de risque de pollution de l'eau. Donc tout risque est écarté. Au fur et à mesure du temps l'ensemble des bâtiments sont réhabilités avec des matériaux beaucoup plus sûrs pour la nature, donc on peut être rassurant pour notre population et pour les salariés qui vont revenir travailler rapidement. "Il n'y a aucun risque au niveau de l'environnement que ce soit pour les êtres humains ou les animaux", a assuré jeudi 4 août sur franceinfo Jonathan Prioleaud, maire divers droite de Bergerac, après une explosion mercredi dans l'usine Eurenco classée Seveso seuil haut.
[VIDÉO] ▶️ Mercredi, un accident industriel à la poudrerie Eurenco de Bergerac a fait huit blessés, dont un grave. Le site est classé Seveso dans la ...
Après l'incendie de l'usine Lubrizol à Rouen en 2019, la réglementation sur les stockages de produits chimiques a notamment été renforcée. Elle est répertoriée dans la catégorie en "seuil haut" des sites Seveso. En France, on en compte environ 1300, dont 700 classés comme étant à haut risque. Il doit être réexaminé tous les cinq ans, et être mis à jour, si nécessaire. Elle doit aussi élaborer un plan d'urgence interne et externe, en cas d'accident majeur. Certaines d'entre elles sont tristement connues comme l' usine AZF à Toulouse ou Lubrizol à Rouen. Mercredi 3 août 2022, plusieurs explosions ont été entendues à la poudrerie Eurenco, située à Bergerac (Dordogne). Un incendie s'est déclenché et huit personnes ont été blessées, dont une gravement. En 2013, une explosion avait déjà eu lieu sur le site de la Poudrerie. Un an et demi plus tôt, un accident similaire s'était produit, faisant lui aussi huit blessés. Même chose en 2020.
[VIDÉO] ▶️ Mercredi, les explosions survenues dans une poudrerie à Bergerac, en Dordogne, ont fait huit blessés. Elles ont été entendues dans une bonne ...
Dans le centre-ville, tout le monde ne parle que de l'accident et des blessés qu'il a occasionnés. "C'est important que les gens sachent effectivement ce qui s'est passé pour ne pas se dire que cela peut se renouveler demain", lance une habitante. Les explosions se sont produites dans "un des bâtiments de stockage, ce qui a provoqué un incendie". En fin d'après-midi, le groupe a assuré que "la situation [était] sous contrôle", mais les habitants restent inquiets. "Il y en a eu plusieurs petites, on s'est demandé ce que c'était et après, il y en a eu une grosse qui, là, a fait un peu plus trembler les choses", explique l'un des habitants du village. Dans le quartier voisin de l'usine, les explosions ont été ressenties par les habitants présents sur place. "Il aurait pu s'agir de personnes que l'on connaissait..." Quelques heures après les faits, une partie des riverains décrivaient le chaos.
Des explosions sur le site d'une poudrerie, mercredi, ont fait huit blessés dont un grave. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de ...
Selon le parquet de Bergerac, une enquête a été ouverte pour blessures involontaires dans le cadre du travail. "Ça aurait pu être beaucoup plus grave", a expliqué le sous-préfet mercredi, précisant que le bâtiment touché par l'explosion contenait moins d'une tonne de nitrocellulose. Selon les informations du Monde, plusieurs employés d'un sous-traitant chargés d'assurer la maintenance du site pendant la fermeture annuelle des 20 premiers jours d'août se trouvent parmi les blessés. En parallèle, 35 personnes n'ont pas été blessées mais momentanément prises en charge par les secours sur place. Tout le site a été évacué. Au total, l'intervention a mobilisé 61 pompiers, 20 policiers et deux hélicoptères du Samu. L'incendie a été maîtrisé en fin d'après-midi. Peu avant 19 heures, la zone a finalement été rouverte à la circulation et les barrages de police, levés, a constaté l'AFP. L'usine Manuco, qui emploie 80 personnes sur le site d'Eurenco, fabrique de la nitrocellulose, utilisée dans la composition des poudres pour l'armement militaire, le tir sportif ou encore la dynamite. Le plan blanc a été levé dans la soirée de mercredi. Pendant l'opération, le plan blanc a été activé pour faciliter la prise en charge des victimes. Un incendie s'est déclaré mercredi aux alentours de 14 heures sur le site de l'usine de l'entreprise Manuco, une poudrerie située à l'est de Bergerac. L'incident a eu lieu après plusieurs explosions survenues dans le plus grand bâtiment de stockage du site de plusieurs hectares. Le bilan de la préfecture fait état de "huit blessés, dont une personne en urgence absolue et sept en urgence relative". La personne en état "critique", selon Eurenco, a été transportée en hélicoptère au CHU de Bordeaux. "Blastée" au moment de l'incident selon la préfecture, elle a été blessée au niveau des jambes. La "nitrocellulose contenue dans un atelier s'est enflammée lors d'opérations de maintenance", a fait savoir dans un communiqué le groupe Eurenco, qui a racheté l'usine en 2021. Sur place, un chaudronnier employé par un sous-traitant a raconté à l'AFP avoir aperçu des "morceaux de briques partir dans tous les sens, des bouts de fer, des fenêtres" au moment des explosions. C'est le bilan de l'incendie qui s'est déclaré sur le site d'une usine de Bergerac (Dordogne) classée Seveso, mercredi 3 août en début d'après-midi. "Le pronostic vital du blessé grave n'est plus engagé", a déclaré jeudi le maire de la ville sur France Bleu. L'employé de l'usine grièvement blessé avait été évacué et transporté par hélicoptère en urgence absolue au CHU de Bordeaux (Gironde). Le feu a été maîtrisé mercredi en fin d'après-midi et une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de l'incident.
Le PDG d'Eurenco, Thierry Francou s'est exprimé ce jeudi sur France Bleu Périgord après l'explosion qui s'est produite sur son site ce mercredi 3 août et ...
Il a expliqué que c'était "très probablement" la nitrocellulose qui s'était enflammée et qu'il y avait eu un incendie puis une explosion avec plusieurs détonations. Comme le site était à l'arrêt, il y avait moins d'une tonne de nitrocellulose stockée sur place selon Thierry Francou. Il s'agit de salariés de Manuco (filiale d'Eurenco) et de salariés d'entreprises extérieures. Thierry Francou a également précisé qu'il n'y avait pas eu de rejets à l'extérieur du site. Il a assuré que c'était un départ de feu dans la nitrocellulose qui avait provoqué l'explosion.
Le même jour, un incendie à eu lieu dans une usine de Safran dans le Bas-Rhin. Les deux sites sont classés Seveso comme plus de 1300 autres sites industriels en ...
Cette qualification impose le respect de normes de sécurité, détaillées par la directive européenne Seveso 3, entrée en vigueur en France en juin 2015. Ces mesures de précaution sont prises en raison de la nature de l’activité de l’entreprise qui produit de la nitrocellulose pour munitions. Après l’immense incendie dans l’usine Lubrizol à Rouen en 2019, la violente explosion dans l’usine d’engrais AZF à Toulouse en 2001 ou encore le vaste incendie dans une papeterie à Venize en 2001, c’est désormais au tour de l’explosion dans la poudrerie de Bergerac ce mercredi de marquer tristement les esprits. En dépit de mesures de sûreté sur les sites dangereux, la France n’est pas épargnée par les accidents industriels graves. Le plan blanc a par ailleurs été déclenché à l'hôpital de Bergerac. Une explosion dans la poudrerie de Bergerac a fait huit blessés dont un gravement.
La CGT d'Eurenco réagit ce jeudi au lendemain de l'explosion sur le site de Bergerac qui a fait huit blessés dont un grave. Le syndicat exprime son soutien ...
Elle a été héliportée à Bordeaux. Dans un communiqué, la CGT exprime aux victimes tout son soutien et sa solidarité. Le syndicat dénonce également des "conditions de travail dangereuses" La plupart des salariés d'Eurenco sont en congés en ce début du mois d'août, c'est bien souvent sur leurs lieux de vacances qu'ils ont appris l'explosion sur le site de Bergerac qui fabrique de la poudre et des explosifs. La CGT d'Eurenco réagit ce jeudi au lendemain de l'explosion sur le site de Bergerac qui a fait huit blessés dont un grave.
Plusieurs explosions ont eu lieu mercredi dans une poudrerie de Bergerac, faisant au moins un blessé grave et sept blessés « en urgence relative »
« C’est un sujet mais à multiples facettes », estime Patrick Chaskiel. Il observe que la chaleur a de multiples effets, par exemple sur la capacité des ouvriers à porter des équipements de protection lourds. Et donc que c’est toute notre procédure de prévention des risques qui doit être renforcée à l’aune de ce réchauffement », a-t-il ajouté. La France s’est aussi dotée d’une loi « risques » en 2003, à la suite de la catastrophe du site AZF, qui a tué 31 personnes à Toulouse en 2001. Ce sont ainsi 78 accidents et 6 accidents « majeurs » qui ont été recensés l’an dernier. Cette classification des sites dangereux prend le nom de la ville italienne de Seveso, qui a connu un rejet accidentel de dioxine en 1976. : la France comptait 1.302 établissements Seveso sur son territoire en 2021, dont 691 dits « seuil haut ». Ce seuil est fonction de la quantité totale de matières dangereuses présentes sur site.
Après l'explosion sur le site d'Eurenco à Bergerac, huit personnes ont été blessées et une cellule psychologique a été déclenchée par le SAMU de Périgueux.
Une cellule d'urgence psychologique a été mise en place après l'explosion sur le site d'Eurenco à Bergerac ce mercredi 3 août. Huit personnes ont été blessées dont une gravement dans cette entreprise classée Seveso seuil haut. Ils ont porté assistance aux salariés indemnes physiquement mais choqués par l'explosion. Cette unité mobile est toujours active ce jeudi 4 août. Explosion à la poudrerie de Bergerac : une cellule d'urgence psychologique mise en place
[VIDÉO] ▶️ À Bergerac (Dordogne), les habitants s'inquiètent suite à l'explosion du site Seveso. La plupart connaissaient les risques, mais ils vivaient ...
Et donc que c'est toute notre procédure de prévention des risques qui doit être renforcée à l'aune de ce réchauffement", a-t-il ajouté. Le gouvernement recense tout de même "une légère augmentation" du nombre d'accidents, leur nombre se situant de l'ordre d’une demi-douzaine par an. "Je pense que c’est à cause de la chaleur, parce que là-bas la consigne est d’arroser en permanence", confie ce dernier à l'équipe du 13H de TF1. En effet, selon le Bureau d’analyse des risques et pollutions industriels (BARPI), "dans les installations industrielles, les fortes chaleurs, qu'elles soient caniculaires ou supérieures aux températures observées à la même période, sont à l'origine de nombreux événements industriels, qu'elles en soient la cause ou un facteur aggravant". "C'est quand même classé Seveso. On vit, en quelque sorte, à côté d'une bombe, donc oui c'est très inquiétant", affirme un commerçant . De son côté, Jean-Paul a, lui aussi, travaillé dans l’usine pendant 35 ans. C'est le cas de Jean-Michel qui découvre, ce jeudi 4 août dans la matinée, les détails de l’accident. "Il fabrique un explosif puissant… L'usine était en maintenance car tout le monde était en congés, donc il y avait moins de monde. Un produit chimique servant à fabriquer notamment de l'explosif destiné à l'armement.
[VIDÉO] ▶️ Un accident industriel a fait huit blessés, dont un grave, ce mercredi 3 août, à la Poudrerie Eurenco, située Bergerac (Dordogne).
Et donc que c'est toute notre procédure de prévention des risques qui doit être renforcée à l'aune de ce réchauffement", a-t-il ajouté. Le gouvernement recense tout de même "une légère augmentation" du nombre d'accidents, leur nombre se situant de l'ordre d’une demi-douzaine par an. "Je pense que c’est à cause de la chaleur, parce que là-bas la consigne est d’arroser en permanence", confie ce dernier à l'équipe du 13H de TF1. En effet, selon le Bureau d’analyse des risques et pollutions industriels (BARPI), "dans les installations industrielles, les fortes chaleurs, qu'elles soient caniculaires ou supérieures aux températures observées à la même période, sont à l'origine de nombreux événements industriels, qu'elles en soient la cause ou un facteur aggravant". "C'est quand même classé Seveso. On vit, en quelque sorte, à côté d'une bombe, donc oui c'est très inquiétant", affirme un commerçant . De son côté, Jean-Paul a, lui aussi, travaillé dans l’usine pendant 35 ans. C'est le cas de Jean-Michel qui découvre, ce jeudi 4 août dans la matinée, les détails de l’accident. "Il fabrique un explosif puissant… L'usine était en maintenance car tout le monde était en congés, donc il y avait moins de monde. Un produit chimique servant à fabriquer notamment de l'explosif destiné à l'armement.
L'explosion dans une poudrerie de Bergerac (Dordogne), mercredi 3 août, a fait huit blessés. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes de cet ...
Beaucoup connaissaient les risques liés à cette usine centenaire, emblématique de la ville de Bergerac. Le pronostic vital de la personne grièvement blessée n'est plus engagé, jeudi matin. Mon mari était allongé, il a fait un bond, et ça a fait bouger la porte de la chambre. La plupart d'entre eux étaient sur place au moment de l'incident. Beaucoup sont encore sous le choc : "Ils sont impactés par l'événement qui a eu lieu.
Après une courte pause, le BPFC accueille la réserve des Girondins en amical, vendredi 5 août. De son côté, le TFC a plus soufflé et se mesure à Libourne, ...
Après un bloc sur la mise en place du cadre collectif et le travail de cohésion, après deux semaines avec beaucoup de volume, place à de la récupération. Mais pas seulement. Après un bloc sur la mise en place du cadre collectif et le travail de cohésion, après deux semaines avec beaucoup de volume, place à de... Le TFC a repris en groupe à Antonne, avec une séance lourde lundi 1er août et des ateliers physiques et tactiques. De son côté, Trélissac a bénéficié d’une coupure la semaine dernière, après un stage à Vichy. « Nous avons fait des séances à distance, comme du télétravail, explique Jimmy Burgho. Il y en avait au minimum trois dans la semaine. Cette semaine, on a été dans la régénération et dans l’intensité, avec un travail plus court et moins de volume. Samedi 30 juillet, après son quatrième match amical en deux semaines, le BPFC a mis fin au deuxième bloc de sa préparation estivale.
Plus précisément du bâtiment 75 de l'entreprise Manuco, une filiale d'Eurenco, «leader européen des explosifs, propulseurs et combustibles militaires». Là-bas, ...
Plus précisément du bâtiment 75 de l’entreprise Manuco, une filiale d’Eurenco, «leader européen des explosifs, propulseurs et combustibles militaires». Là-bas, 80 employés fabriquent de la nitrocellulose, utilisée pour produire des poudres et explosifs. Il lui a fallu quelques minutes pour comprendre que les détonations qui ont fait trembler ses murs mercredi, en début d’après-midi, venaient de la poudrerie. «Un joyau industriel qui a fait vivre tellement de gens du coin avant tous ces plans sociaux», se souvient Christian, 62 ans dont 35 à œuvrer dans «les hangars». «Une seconde famille», résume de son côté Carolle, même âge, «poudrière» pendant une quinzaine d’années, partie lors des grandes vagues de licenciement dans les années 90.